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Lumières et Liberté

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Minima sociaux : la hausse du nombre d’allocataires s’accélère en (...) - Drees - Ministère des...

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Fin 2012, 3,8 millions de personnes perçoivent l’un des neuf minima sociaux, un nombre en hausse de 4,4 % en un an (après environ +2,5 % en 2010 et 2011). C’est la plus forte progression, depuis près de vingt ans, après l’augmentation de 6,2 % en 2009.

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Paraguay une supportrice....

France supportrices:

Que le meilleur gagne...lol

RT @Bastiat2022: Le libéralisme ne consiste pas...


RT @actionScript3: Nikolai Leonov

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Go ahead....

Quelle France dans 10 ans ? Rapport remis à la gouvernance "Hollandie"

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Jean Pisani-Ferry remet au président de la République, mercredi 25 juin, son rapport « Quelle France dans dix ans ? » |

Jean Pisani-Ferry, commissaire général à la stratégie et à la prospective, remet au président de la République, mercredi 25 juin, son rapport « Quelle France dans dix ans ? ». Une feuille de route ambitieuse pour redonner confiance aux Français, la clé, selon l'économiste, du redressement du pays.

Les Français, dites-vous en ouverture de votre rapport, sont considérablement plus inquiets pour l'avenir de leur pays que pour eux-mêmes. Pourquoi une telle inquiétude collective ?

Ils ont le sentiment que le collectif ne fonctionne plus. Pour comprendre ce divorce entre deux perceptions, l'une individuelle et l'autre collective, nous avons procédé à un bilan objectif de l'évolution de la France en prenant comme ligne de départ 1988, et en nous comparant aux pays qui disposaient, à l'époque, d'un revenu par habitant similaire au nôtre. Le diagnostic est un décrochage net : la France a perdu six points de produit intérieur brut par habitant par rapport à la moyenne de ces pays.

 

Comment expliquer ce décrochage, surtout visible à partir des années 2000 ?

Nous mettons en avant une difficulté à effectuer des choix collectifs. Par exemple à propos de la mondialisation. La France hésite, alors même que la deuxième vague de

mondialisation, avec l'émergence d'une classe moyenne de consommateurs lui est plus favorable que la première, celle des producteurs. Nous aspirons collectivement à développer des emplois non délocalisables, comme si on pouvait s'abstraire de la mondialisation. C'est un leurre. Ce dont la France a besoin, c'est de produire davantage pour l'échange international, or ces emplois sont par nature délocalisables.

C'est cette crainte de la mondialisation qui s'est exprimée lors des dernières élections européennes ?

L'Europe, c'est la France qui l'a voulue. Nous avons proposé l'euro pour contrebalancer la puissance de la banque centrale allemande. Et maintenant nous doutons et notre attitude est ambiguë. Nous voulons plus de gouvernance mais pas déléguer de pouvoir.

Cette incapacité à trancher, est-ce la faute des politiques ?

C'est une clé. Notre système politique organise la superposition des responsabilités, jusqu'au niveau européen, dans une complexité qui crée de l'opacité. Cela nourrit une défiance à l'égard des institutions et des élites. Pour le citoyen tout cela fait système : l'absence de clarté des responsabilités, et une société stratifiée. Or, le niveau de formation des Français s'est considérablement amélioré. Plus de 40 % des 30-34 ans ont reçu une formation supérieure ; c'est le cas de moins de 20 % des 55-64 ans. Une société éduquée mais qui reste stratifiée produit beaucoup de frustration sociale. L'élite est trop étroite et trop fermée.

La solution passe-t-elle par le retour de la croissance ?

C'est vrai que dans l'après-guerre, la forte croissance a permis de détendre le conflit sur la répartition de la richesse entre le patronat et la CGT. Mais cela ne fonctionne plus. Nous sommes en stagnation depuis 2007. Les trentenaires d'aujourd'hui n'ont jamais connu la croissance depuis qu'ils travaillent. Les Français ne croient plus au retour de la croissance, et certains ne savent même plus s'ils la souhaitent. Pourtant, elle est nécessaire, y compris pour dégager des ressources pour la transition écologique. Comment résoudre ce dilemme ? Il faut lui donner un contenu. Nous proposons d'associer au PIB des éléments de bilan, en mettant à l'actif notre accroissement de richesse humaine et matérielle et au passif, la dette financière ou la dégradation de l'environnement.

Faut-il se préparer à une décennie sans croissance ?

Le débat fait rage aux Etats-Unis sur la nature et l'avenir du progrès technique. Certains voient un ralentissement durable quand d'autres anticipent une nouvelle vague d'innovations portées par la révolution numérique. Même si nous penchons pour la deuxième hypothèse, la prudence nous impose de travailler sur des chiffres modestes. C'est pourquoi notre scénario est fondé sur un taux de croissance de 1,5 % par an.

A quoi peut ressembler la France de 2025 ?

Il ne s'agissait pas pour nous de faire de la futurologie mais de prendre du recul sur les problèmes d'aujourd'hui. Viser le long terme pousse à être ambitieux. Sur le plan économique, par exemple, cela conduit à un nouveau modèle de croissance, qui laisse les grands groupes poursuivre leur développement international et qui mise sur la capacité des entreprises moyennes à grandir et à s'ouvrir au monde. La France est, là aussi, très ambivalente. Nos ingénieurs sont formés à la culture de l'innovation

radicale plus qu'à celle du progrès incrémental qui fait la fortune des Allemands, mais notre culture sociale, elle, repose sur l'aspiration à la stabilité. Les deux ne sont pas facilement compatibles. Il faut définir une économie du mouvement, où ce sont les parcours des individus qui doivent être sécurisés. Cela fait quinze ans que l'on en parle. On a fait des progrès, avec les droits rechargeables, le compte formation ou le compte pénibilité. Mais cela n'a pas encore changé les comportements des salariés et des entreprises. Il faut construire les nouvelles sécurités des travailleurs, qui reposeront sur la capacité d'organiser des parcours ascendants, et en même temps faire sauter les barrières entre branches, métiers, statuts et niveaux.

A-t-on été trop timide sur la réforme ?

La situation est singulière. A l'étranger, on reproche à notre pays de ne pas se réformer et en France, on trouve qu'on réforme trop ! Les deux sont vrais. Nous avons connu cinq réformes des retraites en vingt ans et trois réformes de la formation professionnelle en dix ans. Chaque gouvernement limite son ambition à ce qu'il juge acceptable par la population. L'inconvénient de cette stratégie, c'est qu'elle ne rassure pas. Après chaque réforme, on attend la suivante. Et ce n'est pas efficace car, tant qu'on n'a pas défini de nouvelles règles du jeu stables, les comportements ne changent pas.

Comment choisir ses priorités ?

Il y a une logique à démarrer par les actions qui demandent le plus de temps. C'est le cas de l'éducation. La situation est alarmante, à la fois en termes d'inégalités et de performance globale, avec 140 000 jeunes qui sortent du système chaque année sans

diplôme. Il faut accepter d'y investir, mais aussi de donner plus d'autonomie aux établissements pour s'adapter au terrain. Mais si je réfléchis aux conditions de faisabilité, les réformes politiques me paraissent essentielles. Il y a un enjeu de légitimité. Ce qui crée de la cohésion dans une société fragmentée et plus diversifiée dans ses aspirations, ce sont le système politique, qui crée de l'appartenance, et les services publics, qui assurent l'égalité. De ce point de vue, la réforme territoriale va dans le bon sens. A condition qu'elle clarifie les responsabilités de chaque échelon et les redistribue aux niveaux les plus pertinents. Et pour moi, à l'échelon local, c'est ce que l'Insee appelle les bassins de vie, le lieu de la vie quotidienne, du travail, du logement, du soin et des loisirs. Il y a 1 700 bassins de vie en France, ce qui correspond à peu près aux 2 000 et quelque intercommunalités.

Comment maîtriser la dépense publique ?

Deux choses pour progresser. D'abord, s'attaquer aux dépenses palliatives, celles qui visent à remédier, par la dépense publique, à des problèmes qu'on n'a pas su régler autrement. On en fait beaucoup en France, c'est une des raisons des déficits publics. Par exemple, le logement social nécessite évidemment un effort public, mais subventionner les locataires quand l'offre est restreinte conduit inévitablement à faire monter les loyers. Ensuite, améliorer l'efficacité de la dépense : dans la santé, par exemple, les travaux de l'OCDE ont montré que nous dépensions de l'ordre de 10 milliards de plus que les pays les plus efficaces pour un résultat équivalent.

L'Europe est-elle mal partie ?

Les divisions sont fortes dans la société française. Pourtant, quand on pose la question aux Français, ils montrent leur insatisfaction mais veulent rester dans l'euro. Ils veulent que l'Europe exerce ses responsabilités. Ce qui est insupportable, c'est de 

collectionner des pouvoirs faibles qui n'ont pas les moyens d'exercer leurs compétences. Pour que l'Europe fasse bien ce qui lui est confié, il faut qu'elle en ait les instruments et qu'elle soit bien gouvernée.

Quelle France dans 10 ans ? Rapport remis à la gouvernance "Hollandie"

Comment la France peut rebondir

Source, journal ou site Internet : le Monde
Date : 25 juin 2014

Quelle France dans 10 ans ? Rapport remis à la gouvernance "Hollandie"
Bien il suffit d'attendre le changement....Voilà c'est mon plan, et mon plan c'est la force !!

Bien il suffit d'attendre le changement....Voilà c'est mon plan, et mon plan c'est la force !!

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L'UE accepte la candidature de l'Albanie...

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L’Albanie obtient le statut de candidat à l’adhésion à l’Union européenne. C’est ce qu’a annoncé la Commission, à Bruxelles, ce mardi 24 juin. Une annonce qui deviendra officielle lors du sommet européen de la fin de la semaine. Le chef du gouvernement socialiste pro- européen, élu il y a tout juste un an, s’est félicité de la nouvelle. « C’est l’amorce d’un grand défi vers le progrès et la prospérité économique », a déclaré Edi Rama, tout en reconnaissant qu’il restait beaucoup de travail et de changements à conduire avant la prochaine étape, c'est- à-dire l’ouverture des négociations d’adhésion. "Cette décision est la reconnaissance des efforts de réforme et un engagement à faire plus » Stefan Fuele, commissaire chargé de l'Elargissement L’Albanie attendait ce feu vert depuis 2009. Mais la route sera encore longue, l’ouverture de négociations concrètes n’interviendra pas avant fin 2015. Ce statut de candidat est une reconnaissance des efforts de réforme entrepris par le nouveau gouvernement, mais, comme l'a souligné le commissaire à l’élargissement Stefan Fuele, c’est aussi un engagement à faire davantage.

Ancrage d'un Etat de droit

Les défis sont immenses. L’un des plus ambitieux est la réforme de la justice et l’ancrage d’un Etat de droit. « Cela prendra dix ans, a prévenu Edi Rama, mais nous le ferons et nous rejoindrons l’UE. » Il faudra aussi endiguer la corruption, moderniser la police, le système éducatif... Mais l’Albanie aura surtout fort à faire pour éradiquer deux fléaux : la criminalité organisée et le trafic de drogue. Dans ce domaine, le gouvernement a marqué un point important la semaine dernière. Après cinq jours de combats, la police a pris le contrôle du village de Lazarat, 2 200 habitants, bastion armé de la production de cannabis. Lazarat produit 900 tonnes de cannabis par an, dont la valeur à la revente représente presqu’un tiers du produit intérieur brut (PIB) du pays.

L'UE accepte la candidature de l'Albanie...

UE: la candidature de l'Albanie officiellement acceptée

Source, journal ou site Internet : RFI

Date : 25 juin 2014

L'Etat et la corporation des sapeurs pompiers embauchent...A vos CV/LM !

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Le ministère de l’intérieur, en partenariat avec la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France (FNSPF) propose depuis le 13 juin 2014 une campagne « sapeur-pompier + volontaire = moi aussi » pour la promotion de l’engagement citoyen que représente le volontariat chez les sapeurs-pompiers. Un web documentaire sur le site du ministère de l’intérieur présente des portraits de sapeurs-pompiers volontaires. Vous avez accès aux nombreux témoignages permettant de mieux comprendre les interactions positives entre volontariat, vie privée et parcours professionnel. Toute personne déjà engagée dans la vie

active et qui souhaite donner de son temps pour les autres peut devenir sapeur-pompier volontaire si les conditions d’engagement sont remplies :

  •   âge,

  •   aptitude physique,

  •   situation au regard du service national,

  •   situation au regard de la citoyenneté.

Le sapeur-pompier volontaire s’engage pour une période de cinq ans, tacitement reconduite.

Pour s’engager, il suffit d’adresser sa candidature directement au Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) de votre département en joignant :

  •   une lettre de motivation,

  •   un CV,

  •   la copie des titres, diplômes ou attestations de formation.

C’est la loi n° 2011-851 du 20 juillet 2011 relative à l’engagement des sapeurs-pompiers volontaires qui définit "l’engagement citoyen en qualité de sapeur-pompier volontaire comme une activité reposant sur le volontariat et le bénévolat, exercée dans des conditions qui lui sont propres".

L'Etat et la corporation des sapeurs pompiers embauchent...A vos CV/LM !

Sapeur-pompier volontaire : le ministère de l’intérieur lance une campagne de recrutement

Source, journal ou site Internet : MSN infos

Date : 25 juin 2014

Auteur : Direction de l’information légale et administrative

Bonne nuit....


RT @Collec_Antigone: Le fardeau du choix imposé...

RT @Bastiat2022: Le chômage augmente. Le...

RT @aurelien_veron: Pour réduire le Code du...

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RT @ninetjosette: ils ont été faits chevaliers...

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