RT @Collec_Antigone: La liberté, laissée à chacun d'utiliser les informations dont il dispose... F. Hayek (1899-1992) http://t.co/F8t4rurQ…
June 26, 2014
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@vbenard @alain_p1 Parce que c'est la faute au...
@vbenard@alain_p1 Parce que c'est la faute au libéralisme....acht...!!
June 26, 2014
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RT @traderform: @teigne_la@vbenard ca va a l'encontre de leur petit discours alors ils ne peuvent pas le dire
June 26, 2014
Libertarien(ne) au sein du Larousse, une entrée remarquée !!
Preuve que le français reste une langue bien vivante, l'édition 2014 du Petit Larousse illustré s'est enrichie de plus de 150 mots. Qui vont de "botoxé" à "subclaquant", en passant par "lombricompostage" et "textoter" . Dans le domaine économique, plusieurs mots ont fait leur apparition. Deux d'entre eux feront plaisir à Arnaud Montebourg : "démondialisation" et "réindustrialisation".
Autre entrant, le mot "libertarien", avec la définition suivante :
"Libertarien, enne, n. et adj. (angl. libertarian ). Partisan d'une philosophie politique et économique (princip. répandue dans les pays anglo-saxons) qui repose sur la liberté individuelle conçue comme fin et moyen. Les libertariens se distinguent des anarchistes par leur attachement à la liberté du marché et des libéraux par leur conception très minimaliste de l'État. Adj. Relatif à cette philosophie."
Les auteurs du Larousse ont pris une heureuse initiative. D'abord parce que quand, en français, le libertarien n'est pas confondu avec le libertin, il l'est avec le libertaire. Ce qui n'a pas grand-chose à voir, puisque le libertaire, anticapitaliste radical, se situe tout à la gauche de la gauche. Ensuite parce que le mot libertarien apparaît de plus en plus fréquemment dans les journaux. On a ainsi pu lire dans Le Monde un portrait du conseiller économique de Marine Le Pen titré : "Bernard Monot, l'économiste "libertarien" de Marine Le Pen". Les deux auteurs de l'article y soulignaient qu'il y avait quelque chose d'un peu contradictoire à ce que M. Monot se proclame libertarien alors que les thèses de ce courant de pensée anglo-saxon sont aux antipodes de celles défendues par le Front national. Au nom de la libre circulation des marchandises et des hommes, les libertariens condamnent les obstacles à l'immigration et ils sont viscéralement antiprotectionnistes. Bref, quand le conseiller économique de Marine Le Pen se dit libertarien, on n'est pas loin du détournement d'héritage, une tradition, il est vrai, bien ancrée au FN.
Non, s'il faut surtout se familiariser avec les idées libertariennes, c'est parce qu'elles ont le vent en poupe aux États-Unis, portées haut et fort par un sénateur du Kentucky, Rand Paul, 51 ans. Début mars, au cours d'une consultation organisée pour départager les éventuels prétendants républicains à la Maison-Blanche en 2016, Rand Paul est arrivé en tête, avec 31 % des voix. Se montrant aussi critique vis-à-vis de la présidence Obama que vis-à-vis des huit années de mandat Bush - qualifiées d'"échec lamentable" -, il défend avec fougue des idées iconoclastes qui lui valent de compter à peu près autant d'adversaires chez les républicains que chez les démocrates.
En matière de politique étrangère, par exemple, Rand Paul se déclare non interventionniste. Plus question à ses yeux que les États-Unis se mêlent des affaires des autres pays et jouent le rôle, financièrement insupportable et moralement condamnable, de gendarme du monde. Son père, avant lui, s'était ainsi farouchement opposé aux guerres en Irak et en Afghanistan, avec cet argument : "Je ne vois aucune raison d'envoyer de jeunes hommes à 10 000 kilomètres d'ici pour attaquer un pays qui n'a commis aucune agression contre le nôtre."
Au nom de la défense des libertés individuelles, les libertariens dénoncent les procédures de surveillance informatiques des citoyens mises en place par Bush et Obama au nom de la lutte contre le terrorisme. En 2013, Rand Paul avait fait le buzz médiatique en menant au Sénat une opération de filibuster (obstruction parlementaire)- il avait parlé sans interruption durant treize heures - pour s'opposer à la nomination du nouveau patron de la CIA.
C'est aussi au nom de la défense des libertés individuelles que les libertariens souhaitent la dépénalisation des drogues, ce qui fait grincer quelques dents dans les rangs des ultraconservateurs républicains : Mitt Romney les a même traités un jour d'"oiseaux cinglés". Il est vrai que les libertariens n'hésitent pas à faire dans la provocation : dans la province de l'Alberta, au Canada, un de leurs candidats avait choisi d'écrire ce slogan osé sur ses affiches : "Je veux que les couples gays mariés puissent défendre leurs plants de marijuana avec leurs fusils."
En matière économique, les libertariens défendent un principe très simple : le moins d'État possible. Le moins de dépenses publiques possible, le moins d'État-providence possible, le moins d'impôts possible. Moins l'État se montre interventionniste, mieux cela vaut. Il faut laisser faire le marché. Il estime que les plans de sauvetage des banques décidés à la suite de la faillite de Lehman Brothers ont été à la fois inefficaces et extraordinairement coûteux.
Il considère surtout que la dette publique américaine est "out of control" et menace toute l'économie. Non seulement la Fed mène, selon lui, une politique insensée en faisant fonctionner la planche à billets, mais il juge scandaleux de transmettre en héritage les dettes actuelles aux jeunes Américains. Et quand on reproche à Rand Paul le fait que ses solutions sont extrêmes, il rétorque que c'est la situation des finances américaines et les 17 000 milliards de dollars de dette de l'État fédéral qui sont extrêmes. Hier considéré comme totalement farfelu, le message libertarien est aujourd'hui écouté avec de plus en plus d'attention aux États-Unis. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, on pourrait imaginer qu'il le soit un jour en France. On peut s'y préparer en achetant la dernière édition du Petit Larousse.
L'éditorial Le Point
Faut-il prendre les libertariens au sérieux ?
Le mot libertarien découle du mot anglais "libertarian".
Les libertariens sont des libéraux radicaux, opposés à l'État dans sa forme contemporaine. Pour eux, les pouvoirs de l'État devraient être extrêmement restreints (minarchisme), ou même supprimés (anarcho-capitalisme). Contrairement à l'idée libertaire, les libertariens ne sont pas pour une société gérée en commun, mais pour une société où les interactions entre les individus découlent de contrats librement consentis, conformément au Droit naturel et à l'axiome de non-agression.
Le terme anglais de libertarian (libéral) a un sens plus étendu que le terme français "libertarien", qui ne désigne à strictement parler que les minarchistes et les anarcho-capitalistes.
Cherchant à tout prix à insérer les libertariens dans une échelle droite/gauche on utilise parfois, pour les désigner, des expressions plus douteuses, comme "libéraux libertaires", ou des expressions inexactes, comme "anarchistes de droite". Ce que précisément ces expressions montrent, en fait, est que les libertariens échappent au clivage habituel droite/gauche.
L'inefficacité de l'énorme dépense publique
Certains comme Valérie Rabault voudraient toujours plus de dépense publique et de distribution de subventions alors qu'on constate qu'en France, ces gabegies d'argent publique sont très...
Stéphane GEYRES et le libertarianisme - Lumières et Liberté
1) Stéphane Geyres, vous êtes libertarien et président du " mouvement des libertariens ". Libertarien est un terme récent, remontant aux années 1970 ; et on estime la plupart du temps qu'il ...
RT @JP_O: On peut dire sans hésiter que...
RT @JP_O: On peut dire sans hésiter que l'interdiction des sacs plastiques est "La" mesure du quinquennat de François Hollande.
June 26, 2014
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@teigne_la@Bastiat2022@lhazebroucq ils sont "teigneux aussi ....ok je sors!
June 26, 2014
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RT @Pascal_Beuvelet: “L'argent qu'on possède est l'instrument de la liberté, celui qu'on pourchasse est celui de la servitude.” JJ Rous…
June 26, 2014
L'avenir du service action DGSE en question...
Un rapport du Sénat propose de réaffecter certaines unités du légendaire Service action de la DGSE au Commandement des opérations spéciales (COS).
On peut imaginer le choc que représente cette annonce dans la communauté du renseignement. Pourtant, il pourrait bien s’agir du dernier volet de la réforme du système de renseignement débutée en 2008. Né officiellement avec le BCRA, le SA hérite des pratiques de la Résistance et du SOE britannique. A la fin de la guerre, la création des services spéciaux s’accompagne inéluctablement d’une dimension action voulue par les tenants du renseignement offensif, en tête desquels le colonel Fourcault. Ce sera le 11e Choc, créé par des figures légendaires du SDECE comme Morlane, Maloubier... Il faut relire Erwan Bergot pour comprendre les origines de cette aventure mythique sur lesquelles reposent 70 années d’histoire de l’action clandestine française et qui ont fait du SA un monument à part. La démilitarisation du Service qui fut lancée après l’affaire Greenpeace, marque le déclin inexorable de l’influence des militaires dans la Maison. Le SA n’y échappe pas, même s’il constitue presque un état dans l’état. Premier signe de ce déclin, la création du service Mission en 1989 qui semble devoir remplacer le SA dans certains domaines de l’action clandestine. De fait, et bien que le SA continue d’opérer militairement sur certains théâtres, il semble que l’essentiel de ses missions se soit recentré sur le contre-terrorisme et le traitement des otages. Se pose finalement la question délicate du bilan opérationnel du SA. Si l’on a l’habitude de dire que les opérations réussies restent secrètes et que seuls les échecs sont médiatisés, il faut bien dire que la somme des accidents et des échecs imputables au SA a fini par poser question. Le désastre de l’opération visant à libérer Denis Alex marque sans doute un tournant dans l’histoire du service. On comprend évidemment la motivation qui a prévalu à cette opération visant à libérer un de leurs agents. Il en allait de l’honneur du Service et de sa sécurité. Un succès aurait certainement assuré son avenir. Malheureusement, on ne prête qu’aux riches, et cet échec, en dépit du soutien officiel de l’exécutif, lui vaut probablement une certaine disgrâce. A contrario, le COS accumule les succès militaires et bénéficie d’une réputation grandissante. Ne dégageant pas ces « relents de clandestinité » souvent désagréables aux narines des dirigeants modernes qui n’ont pas connu la résistance, le COS porte l’auréole d’un savoir- faire militaire qualifié de spécial et qui symbolise parfaitement la puissance du Prince. Ses opérations sont décidée directement au niveau de l’exécutif et représentent un must en matière d’acte guerrier : elles sont fortes, courtes, circonscrites et surtout contrôlables. Tout succès vient directement gonfler les sondages du Prince. L’échec, lui, reste imputable aux aléas des combats et s’efface derrière le cérémonial dramatique des hommages nationaux rendus aux soldats morts pour la France. Quelle que soit la situation, les forces spéciales s’inscrivent donc dans un champ médiatique favorable, ce qu’apprécie évidemment le politique. Au demeurant, la frontière opérationnelle entre le spécial et le clandestin militaire est devenue bien ténue et ne semble plus justifier une distinction qui coute cher. Techniquement, la partie militaire des missions du SA pourrait donc être transférée avec armes et bagages au COS. En ce sens, le rapport des sénateurs est pertinent. Reste que le SA est une structure à part entière de la DGSE dont il partage et nourrit la culture, les codes, l’histoire, les héros, les mythes, sans oublier son réseau de réservistes. Amputer la DGSE d’une partie de cette puissante communauté représenterait non pas la fin des services spéciaux mais un changement profond du modèle national de renseignement extérieur. C’est évidemment un choix politique majeur. S’il n’est pas absurde a priori, il nécessite toutefois une réflexion sur ses implications et ses conséquences. C’est ici, je pense, que le rapport de nos sénateurs trouve ses limites, car ce genre de réflexion implique la mise à plat de l’organisation la plus secrète de la République. De fait, il n’est pas certain que nos dirigeants aient vraiment intérêt, pour quelques millions d’euros d’économie, à bousculer les services spéciaux au risque de remuer les eaux troubles de notre histoire clandestine.
ENJEUX DE LA DEFENSE - DOCTRINE - CONCEPTS – MISSIONS
l’avenir du service action en question- Source, journal ou site Internet : esprit corsaire
Date 26 juin 2014
Auteurs : Franck Bulinge
L'avenir du Service Action de la DGSE - SoWhat? Analyser - Comprendre - Décider
NOUVEAU! Ecoutez cette chronique au format MP3: Chro150614_32ko* Aujourd'hui je vais évoquer la question de l'avenir du Service Action de la DGSE. Un rapport du Sénat propose en effet de réaffecter
http://cerad.canalblog.com/archives/2014/06/15/30080141.html
Lumières et Liberté
Alain Genestine added 3 new photos.
Les blaguimages du jeudi !
Mais pour vous convaincre définitivement de ses qualités,
je ne peux mieux faire que la comparer à une femme !
J’ai toujours été frappé par l’utilisation fréquente de noms féminins pour en désigner les variétés, comme les Charlottes, les Mona Lisa ou les belles de Fontenay, ou surtout les modes de cuisson.
Mesdames et chères amies, vous n’êtes pas des pommes de terre, et cependant…
Que vous soyez en robe de chambre ou en chemise,
Sans pelure ou drapées de Mousseline.
Vous restez toujours Duchesse ou Dauphines !
Parfois atteintes de Vapeur, mais rarement soufflées
Vous gardez la ligne allumette et la taille noisette !
Vous êtes délicieuse à croquer, tant que vous n’avez pas germé !
Vous êtes délicieuses à croquer, surtout dorées.
Mais meilleures encore quand vous êtes sautées !
Quand de vos maris, j’épluche la conduite,
Je découvre qu’avec vous, ils ont la frite.
Ils sortent sans pelure, même s’ils pèlent de froid
Pour eux, même si vous n’êtes plus des primeurs,
Vous demeurez d’éternelles nouvelles !
Pour vous, ils se laissent arracher les yeux,
Friper la peau et meurtrir la chair :
Car comme les pommes de terre,
Ils ont des yeux, une peau et une chair !
Sans vous, ils sont dans la purée,
Sans vous, ils en ont gros sur la patate,
Alors que de la société, ils sont le gratin !
Pomme de terre, je vous aime !
https://www.youtube.com/watch?v=1yw1Tgj9-VU&feature=youtu.be
@vbenard chez moi aussi à Lyon comme l'autre...
@vbenard chez moi aussi à Lyon comme l'autre jour, faut pas travailler le elndemain..
June 27, 2014
Alain Genestine added 3 new photos.
https://www.youtube.com/watch?v=HyrWd_gfQNQ
https://www.youtube.com/watch?v=lWsO41YkYpY
https://www.youtube.com/watch?v=MSSGC9frPR8
Quand je pense que c'est mon pote Mino Cinelu...
Quand je pense que c'est mon pote Mino Cinelu L'Officiel qui joue....
From the mid-fifties to his death in the early nineties, Miles Davis was universally recognised as one of the most innovative musicians working in Jazz. He was also one of the most popular with his albums regularly breaking into the pop charts and he picked up a total of eight Grammy Awards.