Dans l’esprit de bon nombre d’individus, la confusion règne sur le jeu des Américains comme de ceux qui les suivent. L’incompréhension est totale quant aux méthodes de « nos alliés » américains qui utilisent le trafic de drogue depuis très longtemps (guerre du Vietnam) pour financer leurs opérations occultes…
Explication de « l’expert » de l’émission « C’est dans l’air »
Dans cette prise d’otage, les services américains qui ont entrainé les touaregs « islamistes » (maîtres trafiquants en tous genres : armes, drogue, etc.), tentent de déstabiliser Bouteflika le président sortant qui vient d’annoncer finalement qu’il se représentera (pour faire barrage à l’homme lige des Américains). Pourquoi ? Parce que les Américains qui pensaient avoir tout arrangé, n’imaginaient pas que le Président français lors de son voyage à Alger, allait affranchir Bouteflika au sujet des visées américaines et de leur volonté de récupérer la voix de l’Algérie à l’OPEP pour soutenir le dollar comme monnaie de référence dans la fixation du prix du baril de pétrole…
Et comme les Français ont prévu de faire durer leurs centrales nucléaires encore trente ans, il leur faut impérativement préserver leur approvisionnement en Uranium. En contrôlant le Mali, puis le Niger, puis le Tchad, les Américains pouvaient contrôler nos approvisionnements énergétiques et déstabiliser enfin la France, pilier de l’Europe et de l’Euro...!
Enfin, pour ceux qui pensent encore que nous devons abandonner le nucléaire, je rappelle que pour fermer seulement Fessenheim, il va falloir aux techniciens entre 5 et 7 ans de préparation et que la mise en œuvre d’un plan de production alternatif pour produire 70% de notre énergie électrique sans polluer… mettra entre 15 et 20 ans et avec un budget d’investissement colossal...!
Donc, si nous avions laisser faire les Américains au Sahel, nous aurions du retourner à la bougie et au bois de chauffage, en même temps qu'oublier tous nos systèmes d’information et de communication.
La décision d’intervenir pour préserver nos intérêts était indispensable, mais hélas!, elle a été prise beaucoup trop tard, et ce retard nous contraint à porter seul un effort bien plus grand.