Un professeur d'économie dans un lycée annonce fièrement qu'il n'a jamais vu un seul de ses élèves échouer, mais, par contre, une année, c'est la classe entière qui a connu l'échec.
Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme est une idéologie qui fonctionne et que personne n'y est ni pauvre ni riche, un système égalitaire
parfait.
Le professeur leur dit alors : « OK, donc, nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe. A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera avec de très bonnes notes.
En France, la vie est devenue si difficile que les gens se souhaitent "bon courage", pensent "petit" toute la journée par manque d'ambition alors que "grand" n'est pas une qualité et parle de "ce pays" comme si ce n'était pas le leur.
La France devient un petit pays.
Philippe Bloch : Ne me dites plus jamais bon courage ! : Lexique anti-déprime à usage immédiat des français - Ventana
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Quand arriva le troisième contrôle, la moyenne tomba à 5/20. Les notes ne remontèrent jamais, alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d'oiseaux
dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu'un d'autre. A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen
final.
Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal, car quand la récompense est importante, l'effort pour l'obtenir est tout aussi important, tandis que si l'on confisque les
récompenses, plus personne ne cherche à réussir, ni n'essaie. Les choses sont aussi simples que cela. Voici un petit extrait de discours qui résume parfaitement les choses :
« Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche. Tout ce qu'un individu reçoit sans rien faire pour l'obtenir, un autre individu a dû
travailler pour le produire sans en tirer profit. Tout pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu'il a préalablement confisqué à d'autres. Quand la moitié d'un peuple croit qu'il ne sert à rien
de faire des efforts car l'autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu'il ne sert à rien d'en faire car ils bénéficieront à d'autres, cela mes amis, s'appelle le
déclin et la fin d'une nation. On n'accroît pas les biens en les divisant. »
Dr. Adrian Rogers, 1931.
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