Trop de Français sont las. Ils ont perdu confiance dans leurs dirigeants. Pire : ils les prennent en grippe, à force de promesses non tenues, de mesures inefficaces, de louvoiements à répétition.
Chaque affaire nouvelle, chaque scandale révélé les entraînent un peu plus loin dans le désintérêt envers la politique et le mépris pour ceux qui s'y consacrent. L'économie stagne, les difficultés empirent et les gens ont le sentiment que personne n'est plus capable d'améliorer leur ordinaire. La conviction l'emporte que le personnel politique est corrompu, ou bien coupé du réel, ou les deux ensemble. C'est faux : l'immense majorité des élus de tous bords est intègre, active, qualifiée, soucieuse du bien commun. Mais le discrédit dont ils souffrent n'est pas sans conséquences. A force d'être désabusés, les citoyens risquent de perdre de vue l'essentiel : le pouvoir, en démocratie, est entre leurs mains.
Pour le tyran Lénine, la violence était le moteur de la lutte des classes. Le fondateur de l'Union soviétique est responsable de millions de morts. Un petit retour sur les horreurs commises par ce malfaiteur de l'humanité.