Le 14 juillet 2013, certains opposants à la loi Taubira ont crié:
« Hollande dictateur ! » :
la clameur a pu paraître excessive compte tenu de la bonhomie (apparente !) du président de la République et de sa recherche constante du compromis (avec ceux de son choix !)
Encore faut-il noter que cette recherche du consensus se fait sur la ligne de la plus grande pente idéologique, et que le chef de l’État – quel qu’il soit – inscrit sa démarche dans un Système de plus en plus verrouillé.
Par l'éminent Professeur en économie Kuing Aman:
The Exploiters - Moi j'paie plus mes impôts :
http://www.youtube.com/watch?v=zvMadI...
À y regarder de plus près, ce qui se met en place, c’est une dictature « pépère » à base de monopole idéologique, de confusion des pouvoirs, de médias univoques, de société de surveillance, de prise de contrôle de l’enfance, de viol des consciences et de persécutions des dissidents.
1. Une idéologie unique : la recherche d’un monde indifférencié
Les régimes totalitaires se caractérisent par un monopole idéologique du parti au pouvoir. Notre situation est pire : derrière un pluralisme de façade, c’est celle d’une idéologie unique qui impose partout l’idée d’un monde indifférencié fondé sur le mondialisme, le libre-échangisme, la rupture des traditions, la déconstruction des identités (de sexe, de race, de culture), la culpabilisation permanente et l’antiracisme.
2. La collusion des pouvoirs : politique, économique, médiatique
Cette idéologie unique, tous les pouvoirs se coalisent pour l’imposer : l’État, les collectivités territoriales, les associations subventionnées, les grandes entreprises, les médias. Les dépenses de communication et de publicité représentent plusieurs points du produit intérieur brut : une telle débauche d’argent en faveur du conditionnement de l’opinion est sans précédent historique.
3. Des médias univoques : le canal unique
Dans les médias de l’oligarchie, du Mondeà Libération en passant par Le Figaro, de Canal+ à TF1 en passant par France 2, c’est le canal unique, c’est le même message qui passe en boucle en faveur de la société multiculturelle, du capitalisme sans frontières, des guerres « justes » de « l’Empire du bien » et de l’abolition des identités dans le grand tout. À coups de désinformation, de censures, de bobards et de novlangue.
4. La société de surveillance : Big Brother partout
La prophétie orwellienne de 1984 se réalise pleinement : les mots disparaissent, comme le mot « race », de la Constitution, d’autres mots les remplacent et une novlangue s’impose. Dans le même temps, une société de surveillance se met en place : le monde est truffé de caméras et les écoutes numériques sont généralisées. Défenseur de « l’Empire du bien », Luc Rozenzweig explique dans Causeur de l’été 2013 « qu’il n’y a pas de scandale Prism » puisque « mieux vaut la NSA qu’Al-Qaïda » !!! Il confirme ainsi implicitement l’analyse du philosophe suisse Éric Werner pour qui la montée (réelle) de l’insécurité et la mise en scène (accomplie) du terrorisme servent à justifier la mise en place d’une société de contrôle.
5. La prise de contrôle de l’enfance
La marchandisation de la société conduit à placer les enfants (crèches, centre aérés, écoles) et les grands vieillards (foyers médicalisés) dans des structures collectives. Cela facilite l’endoctrinement du berceau à la tombe. Dans les EPHAD (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), des psychologues forment les personnes âgées aux « nouvelles valeurs ». Dans les crèches et les écoles la consigne officielle est de nier les différences de sexe et d’enseigner la « théorie du genre » dès l’école primaire, voire maternelle. Pour faire bonne mesure, le ministre de l’Éducation Vincent Peillon, homme de secte s’il en est, préconise diverses mesures pour couper les liens des parents avec leurs enfants et leur école : semaine de 5 jours pour décourager les femmes de s’occuper de leurs enfants le mercredi, bannissement des devoirs à la maison.
6. La persécution des dissidents
Le but du système est clair : produire un type d’homme conforme d’où les dissidents sont bannis des médias et marginalisés, voire licenciés, dans les entreprises et les administrations. La règle qui s‘applique dans les faits est celle du « Berufsverbot » créé par les nazis et repris par la République fédérale d’Allemagne : les militants identitaires Damien Rieu et Benoît Couëtoux, victimes d’interdits professionnels pour avoir contesté la construction de mosquées, en sont les exemples vivants.
7. La prison pour les mal-pensants
D’autres hommes ont connu la prison exclusivement en raison de leurs opinions : Nicolas Bernard-Buss, détenu 20 jours en raison de son opposition à la loi Taubira ; Esteban Morillo, détenu préventivement depuis trois mois pour « délit de sale crâne » et de « sales idées » alors qu’il a agi en état de légitime défense face à l’agression dont il a été victime de la part d’un militant d’extrême gauche ; le révisionniste Vincent Reynouard, qui a passé un an en prison en 2010 simplement pour avoir diffusé un opuscule de 16 pages aux idées jugées, il est vrai, « nauséabondes ». La question n’est pas ici de savoir si on partage ou non les engagements de ces militants-là, ni si leurs idées sont sympathiques ou odieuses, mais de constater la réalité : en France il y a des prisonniers politiques, c’est-à-dire des gens emprisonnés en raison de leurs opinions. Et d’ailleurs les maires qui, en conscience, veulent refuser de procéder à des parodies de mariage entre paires homosexuelles risquent cinq ans de prison ferme. N’est-ce pas là aussi du délit d’opinion et du viol de conscience ?
8. Un arsenal répressif considérable
Soyons clairs : le Système dispose d’un arsenal répressif considérable (lois Pleven, Gayssot, Taubira, Perben, notamment) : s’il n’y a pas plus de détenus politiques en France, ce n’est pas parce que le régime est pépère c’est parce que beaucoup d’opposants le sont. Au fond, si nous vivons dans une dictature pépère, ce n’est pas tant parce que ceux qui l’exercent sont débonnaires, c’est parce que ceux qui s’y opposent sont bien prudents. Et surtout parce que ceux qui devraient soutenir les libertés politiques – en France, pas au Kamchatka – préfèrent souvent détourner les yeux…(quel courage ! l’idéologie règne) Et pourtant nul ne devrait transiger avec la défense de nos libertés. Les pouvoirs totalitaires ne sont forts que de la lâcheté de leurs opposants et de leur manque de solidarité les uns vis-à-vis des autres.
Face à la dictature pépère une seule attitude possible : unité, solidarité !
François Hollande rend l'hommage qui lui est dû à la culture communiste qui a fait tant de bien à l'Humanité.
Il est désormais président de la République Française.
Lien 1) : Pauvreté, capitalisme et libéralisme : ce qu'on ne vous dit pas
http://www.contrepoints.org/2013/07/0...
SaIopard de Che Guevara :
http://cac14.wordpress.com/2010/03/22...
http://libertarientv.over-blog.com/ar...
Vu sur E&D :
http://www.enquete-debat.fr/archives/...
crédit vidéo:
http://www.youtube.com/watch?v=lkFj6M...
Discours de Hollande à Limoges le 27 avril 2012
http://www.fonjallaz.net/Communisme/I...
Musique:
Hans Zimmer
France : la dictature pépère
Source:
A lire aussi:
François Mao Zedong Hollande, LE GROS TIMONIER. La Dictature Socialiste a commencé !
http://www.contrepoints.org/2012/10/26/102090-subventions-aides-presse-les-chiffres
http://owni.fr/2012/10/25/la-presse-prend-cher/
http://www.numerama.com/magazine/25436-le-cnnum-chercherait-a-legitimer-un-controle-d-internet-par-le-csa.html
http://www.numerama.com/magazine/24825-le-csa-veut-reguler-vos-videos-personnelles.html
http://www.bobards-dor.fr/2013/
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/page/2/
http://www.egaliteetreconciliation.fr/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Glinglin
Social-démocratie
La social-démocratie désigne un courant politique réformiste voulant instaurer le socialisme par voie démocratique, prônant l’économie mixte entre économie de marché réglementée et dirigisme planifié. Historiquement, après la grande rupture de 1917, la social-démocratie s'oppose au communisme, et accepte la démocratie pluraliste. Ses caractéristiques sont les suivantes :
- démocratie politique, pluralisme politique et social ;
- keynésianisme ou néo-keynésianisme (l'État impulse l'initiative privée, politique monétaire et budgétaire laxiste) ;
- importance de la protection sociale et de l'État-providence ;
- rôle de l'Etat face à l'économie de marché pour répondre aux « revendications sociales ».
La social-démocratie est passée du statut de théorie politique à celui d'organisation réelle de la société à partir des années 1920. C'est en Suède qu'elle a trouvé à s'accomplir avec le plus de force et dans la durée. Tout en conservant les institutions démocratiques classiques, les sociaux-démocrates suédois (influencés par l'économiste Gunnar Myrdal… qui reçut le Prix Nobel d'Économie en 1974, soit la même année que Friedrich von Hayek !) ont créé un État visant à s'occuper de la vie entière des citoyens.
Loin de créer une mentalité d'assistés, les régimes de l'ex-Bloc de l'Est ont créé chez leurs ressortissants un recours systématique au système-D, qui explique en partie leur dynamisme actuel.
A l'inverse, dans les social-démocraties, l'individu attend beaucoup plus de l'extérieur (très souvent matérialisé par l'État ou la Sécurité sociale). Cette attente plus importante peut aussi s'expliquer par le fait que l'État est plus à même, dans une social-démocratie, de répondre aux besoins des individus que dans une dictature communiste (certains décrivent le régime français comme « un communisme qui a réussi »).
C'est donc paradoxalement les social-démocraties qui créeraient la mentalité la plus propice à l'assistanat. Comme on ne peut redonner aux classes moyennes davantage qu'on ne leur prend, et que les besoins d'assistanat (et les promesses politiques démagogiques) n'ont pas de limites, l'État-providence a recours à la dette publique (ce qui lui permet au passage de spolier le contribuable par l'inflation).