Le Lot sous une Ville neuve: La Liberté, votez GEYRES!
Le communiqué de presse de Stéphane pour annoncer sa candidature :
Le Mouvement des Libertariens sera candidat à Villeneuve-sur-Lot en juin.
Partout dans le monde, les libertariens ambitionnent, pour tous, un monde de liberté, perdue depuis longtemps. Un monde dans lequel tous les individus libres sont responsables d'eux-mêmes. Un
monde où personne n’est forcé de sacrifier ses valeurs au bénéfice de quelques privilégiés, tout en plaçant la charité naturelle de l’être humain au cœur de la
vie sociale. Un monde de bon sens et de confiance.
La bureaucratie et l’état-providence ne sont pas le remède mais la cause de la misère et du pessimisme qui gangrènent ce pays depuis des décennies.
Nous avons pris l’initiative de créer le Mouvement des Libertariens pour venir surprendre le jeu politicien. Ouvertement. Nous allons montrer que les autres candidats ne sont pas à la hauteur
des enjeux, aucun. Qu'ils ne disent pas la vérité, qu'ils ne comprennent pas la crise et ses causes, que leurs solutions n'en sont pas.
Tous collectivistes, ils ne pensent qu'à s'engraisser honteusement par un faux capitalisme, celui de la connivence. Cahuzac n'est pas un cas isolé !
Nous serons heureux de vous rencontrer à Villeneuve-sur-Lot durant cette campagne, et nous sommes disponibles à tout instant pour développer avec vous nos idées.
Ni à droite, ni à gauche, ni au centre. Les Libertariens ne veulent pas prendre le pouvoir, mais le rendre à chacun.
Stéphane GEYRES,
Un candidat libertarien dans la circonscription de Jérôme Cahuzac
Stéphane Geyres, du Mouvement des Libertariens, a déclaré sa candidature dans l'élection législative partielle pour le siège de Jérôme Cahuzac.
A lire sur le site des Libertariens, et sur la page Facebook de campagne de Stéphane Geyres.
Source:
Comme une profession de foi, la lettre de Stéphane:
La lettre de Stéphane aux électeurs de la circonscritption :
Chers Lot-et-Garonnais,
Notre circonscription, plus que toute autre en France, est révélatrice du climat d’incompétence et d’ignorance des réalités de notre pays qui règne à l’Assemblée Nationale.
Plus que jamais dans l’histoire de la République, la solution est à chercher hors de la classe politique en place, que ce soit le centre, la gauche ou la droite,
et même les extrêmes. Tous, aujourd’hui, ne savent qu’exiger des réglementations, proposer des limitations, imaginer des contrôles, ordonner des sanctions et imposer des taxes. Le problème de
la France, c’est sa liberté perdue. La liberté de créer, d’entreprendre, de travailler, de faire, de choisir sa vie, en individu de bon sens responsable !
Notre modèle social, politique et économique étouffe, depuis quarante ans, sous le poids des décisions que les politiciens prennent à notre place.
Je suis quant à moi quelqu’un comme vous tous. Simple salarié et autodidacte de la politique et de l’économie, jamais je n’ai compté sur l’état pour conduire ma vie que j’ai menée sans profiter
de quiconque. Je me bats pour mes filles et pour nous tous.
Je suis du voisinage, né et vivant dans ce grand Sud-Ouest que nous aimons tous. Je ne suis pas un « parachuté », cet éléphant d’un parti qui cherche à s’assurer une place en se présentant en
terrain conquis. Peu m’importe la place, je viens vous porter un message de liberté, de citoyen responsable qui a décidé, avec ses amis du Mouvement des Libertariens, de se lever en ces temps
difficiles pour envoyer un signal fort aux gouvernants et à toute la classe politique : nous ne sommes pas un troupeau à diriger, nous sommes un peuple instruit et lucide qui mérite et exige le
respect de ses droits fondamentaux.
Parce que la liberté est facteur de dynamisme économique, que le dynamisme économique est la meilleure des sécurités, de l'emploi notamment. Parce que la liberté d’échanger est la meilleure
garantie d’un lien social resserré. Parce que la liberté est nécessaire à l’épanouissement de chaque être humain, je présente ma candidature comme député de la 3ème circonscription du Lot et
Garonne pour porter le message de la Liberté.
Stéphane GEYRES,
Libres ! ... "La liberté est en très grand danger"
Cliquez ci-dessus afin de lire une interview avec son ami Ulrich de Paroles d'Actu et ci-dessous la vidéo de JL CACCOMO
Villeneuve-sur-Lot : les libertariens dans la campagne
Le jeune mouvement, très libéral, compte médiatiser ses idées à l'occasion de la législative partielle
Ils se disent héritiers du penseur libéral landais Frédéric Bastiat. Les libertariens comptent en tous les cas profiter de l'élection législative partielle de la troisième circonscription de Villeneuve-sur-Lot pour populariser les idées de leur mouvement fondé il y a six mois.
Stéphane Geyres, 51 ans, informaticien auditeur toulousain, natif de Bordeaux, se déclare donc candidat. "Notre circonscription, plus que toute autre en France, est révélatrice du climat d’incompétence et d’ignorance des réalités de notre pays qui règne à l’Assemblée nationale, estime-t-il. Plus que jamais dans l’histoire de la République, la solution est à chercher hors de la classe politique en place, que ce soit le centre, la gauche ou la droite, et même les extrêmes. Tous, aujourd’hui, ne savent qu’exiger des réglementations, proposer des limitations, imaginer des contrôles, ordonner des sanctions et imposer des taxes. Le problème de la France, c’est sa liberté perdue. La liberté de créer, d’entreprendre, de travailler, de faire, de choisir sa vie, en individu de bon sens responsable ! Notre modèle social, politique et économique étouffe, depuis quarante ans, sous le poids des décisions que les politiciens prennent à notre place."
Moins d'économie administrée, moins d'impôt, et un Etat qui se cantonnerait stricto sensu à ses fonctions régaliennes, voilà le message des libertariens.
Source:
Villeneuve-sur-Lot. Et de deux candidats qui font huit pour une législative
législatives partielles à Villeneuve
Deux candidatures de plus pour les élections législatives de juin prochain dans la troisième circonscription. La liste s'allonge et ce n'est sans doute pas fini avant le 24 mai.
Dans deux semaines, vendredi 24 mai, à 18 heures, aucun candidat potentiel pour les élections législatives partielles des 16 et 23 juin prochain ne pourra se déclarer. Hier, deux nouveaux noms se sont ajoutés à la liste des candidats à la succession de l'ancien député Cahuzac.
Stéphane Geyres, 51 ans, consultant senior, est candidat pour le Mouvement des libertariens aux législatives. Son suppléant est Valentin Souny, 21 ans, étudiant en droit. «Notre circonscription, plus que toute autre en France, est révélatrice du climat d'incompétence et d'ignorance des réalités de notre pays qui règne à l'Assemblée nationale, indique-t-il. La solution est à chercher hors de la classe politique en place, quelle qu'elle soit. Le problème de la France, c'est sa liberté perdue : la liberté de créer, d'entreprendre, de travailler, de choisir sa vie… en individu de bon sens responsable.»
Et le Modem ?
La deuxième nouvelle candidature est celle de Benoît Frison-Roche, 62 ans, retraité, ancien officier de la marine nationale, investi depuis huit ans dans les actions de gestion de l'enseignement catholique. Son suppléant est Pascal Célérier, 41 ans, professeur de lettres au collège Anatole-France de Villeneuve-sur-Lot. «Ma candidature est indépendante. Je m'affiche clairement comme divers droite. Pourquoi je me lance dans les législatives ? Je ne suis pas dans une démarche d'opportunité mais dans une démarche de conviction. Je me considère représentant une candidature de rassemblement. Je veux le rassemblement des gens qui veulent œuvrer au rétablissement de tous les équilibres économiques, sociétaux… ici et au sein du Parlement».
Outre ces deux candidatures indépendantes, on retrouve à cinq semaines du premier tour l'ensemble ou presque des pièces pouvant figurer sur l'échiquier politique : Jean-Louis Costes (UMP), Bernard Barral élu par les militants socialistes lundi soir, Lionel Feuillas (Europe Ecologie les Verts), Marie-Hélène Loiseau (Front de gauche), Etienne Bousquet-Cassagne (Front national), sans oublier Joffrey Raphaël-Leygues - la classe biberon - 18 ans et lycéen, et Claude Leriche, qui entendait y aller aussi, «pour les plus pauvres.»
Il manque encore une pièce sur l'échiquier de la 3e circonscription, une pièce de couleur orange comme la teinte du Modem. A l'issue d'une réunion vendredi avec François Bayrou, Yamina Kichi, médecin à Sainte-Livrade, tient semble-t-il la corde. Le nom de son suppléant n'est pas encore connu. L'arrivée du mouvement centriste dans le jeu bouclerait presque la boucle des candidats engagés dans la course à la succession de Jérôme Cahuzac.
Réagissez sur : courrier@petit-bleu.fr
Stéphane Geyres
Simple citoyen viscéralement optimiste, consultant informatique, 25 ans d'expérience, bilingue, ayant vécu dans 5 pays sur 3 continents et connu l'aventure de la création d'entreprise - dans un pays ou c'est mal vu et très aléatoire. Libéral convaincu et même libertarien, venu au libéralisme après des années d'errance politique et une grande déception de la droite traditionnelle, de ses présidents de la 5eme république et de la "rupture" de 2007. Autodidacte et curieux, découvre l'école autrichienne d'économie et engloutit les opus magni de Mises, Rothbard et Hoppe en quelques mois, puis découvre le libéralisme en tant que doctrine et modèle social. La lecture de Salin, Ron Paul, Hazlitt, Ayn Rand et même Mandelbrot finit de me convaincre du bien fondé de l'analyse libérale. Commence alors le projet de contribuer à mieux faire connaître et comprendre le libéralisme, pour que nos enfants vivent dans un monde digne d'eux...
Source:
L'oeil Libre, une direction un seul chemin: La Liberté
Ils veulent « la liberté, sinon rien ». Leur devise ? « Vie, liberté, propriété ». Les Libertariens débarquent en France. Nouvelles de France a rencontré Stephane Geyres, leur président .
Pourquoi avoir lancé Les Libertariens en janvier 2013 ? Selon vous, le libéralisme n’est pas représenté en politique, aujourd’hui en France ?
Notre groupe des fondateurs a bien décidé fin 2012 de lancer Les Libertariens qui depuis ont été en effet enregistrés comme parti en janvier (notre nom officiel est donc le Mouvement des libertariens). Nous considérons que le libéralisme authentique est totalement inconnu et incompris en France et que, c’est exact, aucune offre politique cohérente n’existait à ce jour, alors que le libéralisme libertarien n’est pourtant rien de moins que l’avenir de l’Homme.
Pourquoi ne pas avoir tenté l’entrisme dans un grand parti (UMP, MoDem…) ?
L’entrisme ? Tout libertarien vous dira qu’il est inconcevable. Tous les partis se voulant libéraux l’ont démontré, il est vain de tenter d’influencer des partis qui ne sont pas conçus pour le bonheur des peuples mais pour celui de leurs élites. À moins d’être déjà célèbre et connu du public, vouloir faire gagner la liberté ne peut se faire que de l’extérieur du système.
Qu’est-ce qui vous différencie du Parti libéral démocrate, sur le fond comme sur la forme ?
Le PLD se veut un « gentil parti », mais il est et sera incapable de pousser les mesures profondes dont notre société a besoin et que nous proposons. Déjà sur le fond, il s’affiche à la fois libéral et démocrate alors que ces deux concepts sont incompatibles, la société libre de demain n’ayant rien de démocratique. En effet, qu’est-ce que la démocratie sinon l’oppression des minorités par la majorité ? Le PLD a l’avantage de faire un peu avancer les idées libérales dans le domaine économique, mais sinon il s’inscrit dans la continuité du système actuel. Or c’est le système qui est en cause, pas seulement la politique économique.
Un parti de plus… diront certains. En quoi le Mouvement des libertariens n’est pas un parti comme les autres ?
Nous – et bien d’autres libertariens – avons longtemps hésité avant de créer ce parti. Car pour nous, un parti est synonyme de prise de pouvoir et c’est justement du pouvoir que nous nous méfions. Nous ne voulons pas prendre le pouvoir, mais qu’il soit rendu aux citoyens. Incohérence apparente donc. Mais en France, rien ne se passe hors du système. La preuve, vous vous intéressez à nous parce que nous entrons dans le jeu partisan. Notre objectif est donc de venir perturber ce jeu. Ouvertement. Nous serons le caillou dans la chaussure – du PLD notamment, et de tous les autres.
Quels sont vos objectifs électoraux ? Vos projets à court et moyen terme ?
Nous préparons notre présence électorale. Mais elle est destinée à montrer que l’empereur est nu, que les autres candidats ne sont pas à la hauteur des enjeux, qu’ils ne disent pas la vérité ou simplement qu’il ne comprennent pas la crise et ses causes.
Il est encore trop tôt pour dévoiler nos plans qui, pour être franc, sont encore en préparation. Mais disons que nous serons partout où les élections sont peu coûteuses et partout où nous pensons pouvoir renverser les baronnies en place.
« Vouloir faire gagner la liberté ne peut se faire que de l’extérieur du système »
Comment expliquer le fait que le libéralisme a si mauvaise presse en France en 2013 ? Est-ce pour cela que vous avez pris l’appellation « libertarien », moins connotée ?
Je ne sais si vous avez lu Libres !, paru en septembre 2012 et écrit par 100 libéraux – votre rédaction en a un exemplaire (Nouvelles de France de décembre 2012 a interrogé les auteurs de Libres !, ndlr). Un de ses articles a pour titre : « 94% des journalistes de gauche ? » – je crois qu’il y a là une des causes évidentes.
Le libéralisme, qui est pourtant né en France avec les Lumières, subit depuis l’après-guerre un lent mais très efficace travail de sape, au point que plus personne ou presque n’en connait les principes. Pourtant, c’est très simple : il n’y a pas de philosophie politique plus humaniste que le libéralisme authentique. Mais celui-ci suppose une place minimale voire nulle laissée à l’État bureaucrate, et celui-ci ne l’entend pas de cette oreille. Alors il nous fait croire à une monstruosité.
Le terme de libertarien vient du terme anglo-saxon « libertarian ». C’est un moyen d’affirmer que nous ne sommes pas des libéraux au seul sens économique, mais aussi et surtout au sens politique, c’est-à-dire que nous voulons un retour à l’état strictement régalien. Voire au-delà.
Si vous arriviez au pouvoir, quelles seraient vos 5 premières mesures ? La croissance sans fin de l’État providence n’est-elle pas, partout, inéluctable ? Le refuser, n’est-ce pas aller contre le sens de l’Histoire ?
Le sens de l’histoire n’est pas celui annoncé par Marx, c’est celui qui va vers la liberté des peuples. L’État-nounou gargantuesque est en train d’approcher l’apoplexie, il va tomber comme un fruit pourri de l’arbre et l’histoire reprendra sa marche lente mais sûre en laissant derrière elle ce « détail ».
Imaginez cinq mesures phares – mais qui vous dit que les nôtres se limiterons à celles-ci ? Suppression du statut de fonctionnaire ; suppression du code du travail ; impôt unique et identique pour tous quelque part entre 10 et 15% des revenus (tout autre impôt étant supprimé) ; retrait de l’État de toutes ses participations dans des entreprises, quelles qu’elles soient ; suppression de tous les monopoles publics.
La crise que nous vivons actuellement est-elle une opportunité pour faire connaître et comprendre le libertarianisme aux Français ?
La crise est en effet une lame qui va aller grandissant et qui portera nos idées, en France comme partout d’ailleurs. Déjà Ron Paul, auxÉtats-Unis, a fortement perturbé les dernières élections américaines, nous faisons le pari que ce sera aussi le cas en Europe.
Je fais, par exemple, le pari qu’Alain Madelin va tenter de revenir – et c’est très bien. Mais il ne va pas assez loin et surtout il est trop teinté, il fait parti du système. Les citoyens ont besoin de sang neuf.
Finalement, quel intérêt auraient nos lecteurs à adhérer aux Libertariens ?
Adhérer aux Libertariens, c’est un acte simple. Pas besoin de chercher de raison bien compliquée : Si vos lecteurs croient que ce système les étouffe, s’ils pensent que la crise n’est pas leur faute mais celle des politiques et des banquiers, s’ils pensent qu’ils se débrouilleraient bien mieux sans toute cette paperasse et ces bureaucrates, s’ils pensent qu’ils paient trop d’impôts, ils trouveront chez nous un discours à leur mesure : Les Libertariens ne veulent pas prendre le pouvoir, mais vous le rendre.
Vous direz que c’est populiste ? Il est en effet temps de s’occuper du peuple. C’est notre seule ambition.
Stephane Geyres : «Les Libertariens ne veulent pas prendre le pouvoir, mais vous le rendre»
Stéphane Geyres
Stéphane Geyres (né le 3 mars 1962 à Caudéran (Bordeaux)) est consultant. Libertarien, il défend des positions pro-liberté et se revendique de la pensée de Murray Rothbard et de ses héritiers, Hans-Hermann Hoppe en particulier. Il est avec Ulrich Genisson le co-éditeur du projet de livre Libres ! 100 idées, 100 auteurs.
Il a été un des premiers traducteurs bénévoles de l’Institut Coppet dont il est devenu et est encore le Trésorier et est aussi l’un des créateurs et principal contributeur de Article IV ((fr)Article IV)
À l’Union des Libéraux (UDL), il a conçu et mis en place de Label Bastiat ((fr)Site de l’UDL).
Citations
- « L’étatisme (...) est cette croyance, mouvance, idéologie, appelons cela comme on veut, qui voudrait nous faire croire que l’état (bureaucratie) serait légitime à intervenir dans de nombreux champs de la vie sociale, pour ne pas dire tous. »
- « La monnaie est de la richesse à venir. »
Liens externes
- (fr)Le blog de Stéphane Geyres
- (fr)Un de ses articles sur le droit et la technologie, également repris par l'Institut Turgot
- (fr)Articles de Stéphane Geyres chez Économie Matin
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