Le refus vigilant de toute équivalence, de toute comparaison, même, entre nazisme et communisme, malgré la parenté de leurs structures étatiques et de leurs comportements répressifs, provient de ce que l'exécration quotidienne du nazisme sert de rempart protecteur contre l'examen attentif du communisme.
Rappeler chaque jour les atrocités nazies exercice devenu sacré, désormais, sous le nom de " devoir de mémoire
" - entretient un bruit de fond permanent qui ne laisse plus de vigilance disponible pour le rappel des atrocités communistes.
Par prof Kuing Yamang:François Hollande rend l'hommage qui lui est dû à la culture communiste qui a fait tant de bien à l'Humanité.
Il est désormais président de la République Française.
Lien 1) : Pauvreté, capitalisme et libéralisme : ce qu'on ne vous dit pas
http://www.contrepoints.org/2013/07/0...
SaIopard de Che Guevara :
http://cac14.wordpress.com/2010/03/22...
http://libertarientv.over-blog.com/ar...
Vu sur E&D :
http://www.enquete-debat.fr/archives/...
crédit vidéo:
http://www.youtube.com/watch?v=lkFj6M...
Discours de Hollande à Limoges le 27 avril 2012
http://www.fonjallaz.net/Communisme/I...
Musique:
Hans Zimmer
Selon la formule d'Alain Besançon, l' " hypermnésie du nazisme ", détourne l'attention de 1'«amnésie du communisme».
Chacun comprend donc que toute analyse, tout travail des historiens minoritaires ramenant l'accent sur leur essentielle similarité soulèvent des ouragans annonciateurs de rages vengeresses. On objectera, certes, avec raison, qu'aucun rappel de la criminalité nazie ne saurait être excessif. Mais l'insistance de ce rappel devient suspecte dès lors qu'elle sert à en ajourner indéfiniment un autre: celui des crimes communistes.
Léo Ferré parle de la gauche, des politiques, des artistes et de ces gens qui se disent de gauche.
Extraits:
"La gauche c'est une salle d'attente pour le fascisme."
"Vous connaissez un artiste de gauche ?"
"Ces gens qui se disent de gauche, c'est ce qui tue ce pays."
"Je ne vois plus de journalistes de ma vie, c'est fini, ils font trop de mal...ils racontent des conneries...Méchants !"
CV: A bout portant 1971
Révélateur du succès obtenu par ce leurre est le sens qu'a pris l'expression " devoir de mémoire " désignant de façon quasi exclusive le
devoir de rappeler sans cesse les crimes nazis et eux seuls. On ajoute éventuellement à la liste quelques autres forfaits qui peuvent leur être comparés, à condition qu'ils n'appartiennent pas au
champ d'action des grandes maisons mères communistes et ne relèvent pas non plus de la conception socialiste du monde.
Ainsi, le 16 juillet 1999, le président de la République française, Jacques Chirac, se rend à Oradour-sur-Glane pour inaugurer un
Centre de la mémoire, dans ce village où, le 10 juin 1944, les SS de la division Das Reich ont massacré 642 habitants, dont 246 femmes et 207 enfants, brûlés vifs dans l'église. Noble et pieuse
évocation du chef de l'Etat. Dans le discours qu'il prononce sur place, le Président flétrit, par-delà l'holocauste (au sens littéral) d'Oradour, " tous " les massacres et génocides de
l'histoire, " et d'abord bien sûr, dit-il, celui de la Shoah ". Puis il évoque également la Saint-Barthélemy, " les villages de Vendée sous la Terreur " (ce qui est courageux, vu le tabou
d'origine jacobine qui a longtemps refusé la " mémoire " à ce génocide cependant fort mémorable). Puis furent énumérés Guernica, Sabra et Chatila (une pierre dans le jardin d'Israël), les
meurtres de masse intertribaux du Rwanda en 1994 ; les milliers de Bosniaques assassinés dans et par tous les camps au nom de la " purification ethnique " entre 1992 et 1995, enfin les carnages
plus récents du Kosovo. Dans toutes ces exterminations, comme à Oradour, " les bourreaux n'ont pas fait de distinction entre les hommes, les femmes et les enfants ", a souligné Jacques Chirac
avec force et indignation.
Les Français ont peur du monde extérieur, ils voient les autres comme une menace.
On les savait pessimistes, voici qu'ils se révèlent aussi être de grands angoissés.
Les Français ont montré qu'ils sont socialistes et qu'ils veulent toujours plus d'État, ils deviennent aussi nationalistes.
On le remarquera ou, plus exactement, personne ne l'a remarqué, dans cette fresque de " tous " les crimes, de " tous " les temps et de " tous " les
lieux ne figure aucun massacre communiste. Katyn n'a jamais eu lieu. Lénine, Staline, Mao, Pol Pot, Mengistu, Kim Il-sung ont quitté sur la pointe des pieds, sous la houlette d'un chef d'Etat
gaulliste, le théâtre de la mémoire des génocides et l'histoire des répressions exterminatrices au XX ème siècle.
Lutte contre le libéralisme, renforcement du poids de l'État, le Front national rassemble les déçus du Parti socialiste. Nous assistons à la naissance de l'ultra-socialisme.
Le FN, c'est la gauche d'autrefois, beaucoup de militants l'ont compris et rejoignent ses rangs. Anciens fans de Mitterrand, de Hollande ou du PCF sont légion pour soutenir Marine Le Pen pour qui la majorité socialiste au pouvoir mène une politique ultralibérale façon Margaret Thatcher.
Le FN est devenu le premier parti de gauche en France.
Du passé de gauche, faisons table rase ! Bien plus: les despotismes communistes toujours
actifs et inventifs, aujourd'hui même, dans l'art de peupler les cimetières progressistes et les camps de rééducation par le travail sont passés sous silence. La Chine, où se pratiquent par
milliers chaque jour impunément des tortures qui ne sont pas au passé, de ces tortures qui valent par ailleurs une juste inculpation à Pinochet, lequel n'est plus au pouvoir ; le Vietnam, la
Corée du Nord et, cela va de soi, Fidel Castro, dont on connaît l'angélique douceur, si grande qu'il est devenu le Notre-Dame de Lourdes de tous les pèlerins démocratiques ou
ecclésiastiques.
" Mémoire ", qui veut dire en français " faculté de se souvenir ", est employé, depuis quelques années, comme un synonyme du mot " souvenir ". Quant au " souvenir de "
quelque chose, depuis qu'il s'est glissé dans les habits de la " mémoire de ", on n'a plus le droit de l'employer qu'au sens de souvenir, pardon ! " mémoire " des crimes nazis et, en particulier,
de l'holocauste des Juifs. " Mémoire " et " crimes nazis " sont donc désormais deux termes interchangeables. Il en ressort que le " devoir de mémoire ", lié au nazisme par une relation exclusive,
est un devoir d'oubli pour tout le reste.
Au lendemain des propos présidentiels à Oradour, le quotidien régional Ouest France titre : " Une mémoire contre la barbarie. " Est-ce à dire qu'une
seule mémoire, la mémoire d'un seul individu, se souvient encore de cette barbarie ? Ce serait fort triste.
Soldats nazis et soviétiques fraternisant en septembre 1939.
N'hésitons pas à traduire: le souvenir sans cesse ravivé de la barbarie nazie doit enseigner aux jeunes
générations le devoir d'éliminer toute barbarie dans l'avenir. En revanche, les régimes communistes, n'ayant jamais manifesté la moindre barbarie, ce qui est notoire, ne relèvent point du "
devoir de mémoire ". Ceux qui actuellement subsistent, torturent et persécutent ne sont l'objet d'aucun " devoir de vigilance ". Notre résistance au nazisme se fait d'autant plus farouche que
celui-ci s'éloigne dans le passé. C'est ainsi que le ministère des Anciens Combattants, de moins en moins surmené au fur et à mesure qu'il y a de moins en moins d'anciens combattants, songe à se
reconvertir en un ministère de la Mémoire, et même à mettre sur pied un " tourisme de la mémoire ". Gageons que ces organisateurs de voyages éthiques ne délivreront guère de billets à destination
des lieux de mémoire de la Loubianka soviétique, du goulag aujourd'hui désaffecté, ou des laboratoires de travaux pratiques toujours en pleine activité du laogaï chinois. Que notre vigilance à
l'égard des crimes du III éme Reich ne cesse de croire, c'est en soi un fruit salutaire conscience historique. Mais qu'elle ait décuplé depuis que la vérité sur la criminalité du communisme,
après sa chute, a été mieux connue ou du moins, plus difficile à escamoter, voilà une concomitance qui laisse perplexe.
Soldats allemands et soviétiques réunis sous un portrait de Staline, lors du transfert de la ville de Brest sous contrôle soviétique, après l’invasion et le partage de la Pologne par l’Allemagnie nazie et l’URSS, en 1939.
Le jour même où le président Chirac s'exprime à Oradour, notre Premier ministre,
Lionel Jospin ne voulant pas être en reste dans la course à l'éthique hémiplégique, faisait, accompagné de son épouse, elle-même d'origine polonaise, du tourisme de mémoire à Auschwitz. Qui ne
lui en reconnaissant ? On ne rappellera jamais assez l'unicité de la Shoah ", pour reprendre les termes d'Alain Besançon. On regrettera toutefois que nos deux " touristes de mémoire " ne se
soient pas mis en " devoir ", puisqu'ils étaient en Pologne, d'en profiter pour pousser jusqu'à Katyn. Le devoir de mémoire est universel ou il n'est que pharisianisme partisan. C'est insulter la
mémoire des victimes du nazisme que de se servir d'elles pour enterrer le souvenir de celles du communisme.
Pour le tyran Lénine, la violence était le moteur de la lutte des classes. Le fondateur de l'Union soviétique est responsable de millions de morts. Un petit retour sur les horreurs commises par ce malfaiteur de l'humanité.
Qu'on veuille bien m'excuser de résumé des faits, à l'usage des jeunes générations auxquelles l'appellation géographique Katyn ne dit rien - je l'ai
souvent constaté - pour la raison que leur professeurs, leurs journaux et leurs médias ont pris toutes les précautions nécessaires pour éviter qu'elle ne leur dise quoi que ce fût. En septembre
1939, après la défaite de la Pologne, envahie simultanément par les nazis à l'Ouest et par leurs communistes à l'Est, une zone d'occupation de 200'000 kilomètres carrés est (entre autres
territoires) octroyée par Hitler à ses amis soviétiques pour les récompenser de leur aide précieuse.
Dès la défaite polonaise, dans cette zone, les Soviétiques sur ordre écrit de Staline, massacrent plusieurs milliers d'officiers polonais prisonniers de guerre : plus de
4 000 à Katyn (près de Smolensk), 1ieu où fut découvert ultérieurement le charnier le plus connu, mais aussi environ 21000 en divers lieux. A ces victimes, il faut ajouter qu 15000 prisonniers
simples soldats, probablement noyés dans la mer Blanche. Perpétrées en quelques jours selon un plan préétabli, ces tueries en masse de Polonais vaincus, exterminés pour la seule raison qu'ils
étaient polonais, constituent d'indiscutables crimes contre l'humanité, et non pas seulement des crimes de guerre, puisque la guerre était terminée en ce qui concerne la Pologne. D'après les
conventions de Genève, l'exécution de prisonniers d'une armée régulière, qui ont combattu en uniforme, est un crime contre l'humanité, surtout une fois le conflit terminé. L'ordre de Moscou était
de supprimer toutes les élites polonaises : étudiants, juges, propriétaires terriens, fonctionnaires, ingénieurs, professeurs, avocats et, bien sûr, officiers.
Lorsque ces charniers polonais furent découverts, le Kremlin imputa ces crimes aux nazis. La gauche occidentale s'empressa naturellement d'obéir à
la voix de son maître. Je ne dis pas que toute la gauche non communiste fut servile. La partie d'entre elle qui avait des doutes resta en tout cas fort discrète et plus plaintivement perplexe que
catégoriquement accusatrice.
Pendant quarante-cinq ans, affirmer hautement que l'on croyait vraisemblable la culpabilité soviétique- pour la bonne raison que les crimes avaient
été commis dans la zone d'occupation soviétique et non allemande - vous classait sur l'heure parmi les obsessionnels " viscéraux " de l'anticommunisme " primaire ". Et puis voilà qu'en 1990,
grâce à Gorbatchev et à sa glasnost, le Kremlin, dans un communiqué de l'agence Tass, reconnaît sans détours atténuants que " Katyn a été un grave crime de l'époque stalinienne ". En 1992, à la
suite d'un début d'inventaire des archives de Moscou, est divulgué un rapport secret de 1959 dû à Chélépine, alors chef du KGB. Il fait état de " 21 857 Polonais de l'élite, fusillés en 1939 sur
ordre de Staline ".
La question étant donc tranchée du fait des aveux soviétiques mêmes, on aurait pu espérer que les négationnistes occidentaux de gauche qui,
pendant quatre décennies, avaient traité de fascistes, ou peu s'en faut, les partisans de la culpabilité soviétique, fissent alors amende honorable. C'était mal les connaître. Aussi peut-on
regretter qu'en 1999 le premier ministre de la France n'ait pas eu, en Pologne, un petit geste " touristique " pour montrer qu'enfin la gauche avait cessé d'être une unijambiste de la " mémoire
", de la morale et de l'histoire.
Cette discrimination persistante provient de la non moins tenace aberration selon laquelle le fascisme serait l'antithèse du communisme et donc que
les victimes du second, quoique se chiffrant par dizaines de millions, seraient qualitativement moins " victimes " que celles du premier. On a envie d'interpeller les négateurs de ces victimes en
leur criant : " De quel lieu vous taisez-vous ? " Ce n'est pas le fascisme qui est l'ennemi du communisme. C'est la démocratie. Il n'y aura pas de " mémoire " équitable, donc pas de mémoire du
tout, car la mémoire volontairement tronquée est par là même inexistante, aussi longtemps que gauche et droite réunies traiteront différemment les criminels vainqueurs et les criminels
vaincus.
[...] L'une des causes, en effet, du voile jeté sur les crimes communistes est une lâcheté certaine, puisqu'il est plus facile de s'en prendre à
des totalitaires morts qu'à des totalitaires vivants. Il suffit de voir avec quels égards sont traités les régimes communistes subsistants, même faibles, pour mieux comprendre la colossale
servilité qui se manifesta envers la puissante Union soviétique, entre sa victoire militaire de 1945 et sa disparition en 1991. Obligatoire en Occident chez ses parti- sans ou sympathisants,
cette servilité surprend par son ampleur inattendue chez les adversaires mêmes de son idéologie. On a pu l'excuser jadis en alléguant des motifs de realpolitik. Mais elle survit chez eux à la fin
du communisme soviétique et européen, parce qu'ils n'ont toujours pas le courage de déplaire à leur propre gauche, laquelle renâcle encore à reconnaître l'échec universel et les crimes avérés du
socialisme réel. D'une part le 111, Reich a été anéanti politiquement voilà plus d'un demi-siècle, tandis que le communisme existe encore, quoique sur une étendue plus restreinte ; d'autre part,
l'idéologie nazie a cessé depuis cinquante ans de représenter une force culturelle, sauf chez quelques marginaux sans influence, dont l'importance est d'ailleurs soigneusement grossie dans le
dessein d'entretenir le mythe d'un danger fasciste éternellement renaissant. Au contraire, l'idéologie marxiste- léniniste, tout autant discréditée par la praxis ou qui devrait l'être, continue
d'imprégner nos sché- mas interprétatifs et nos comportements culturels. Les procédés stalino-léninistes restent d'usage courant. La calomnie, le mensonge, la désinformation, la déformation,
l'amalgame, l'injure excommunicatrice, le rejet dans le camp fasciste, vichyste, voire antisémite de tout contradicteur, l'affront immérité autant qu'insidieux restent admis dans nos mœurs
politiques, et même artistiques ou littéraires. Le plus véniel anathème consiste à traiter de nazi quiconque désapprouve votre secte, sur quelque terrain queue se situe, le ,débat fût-il même
étranger à la politique. Il est au demeurant révélateur que la loi française punissant depuis 1990 la contestation des seuls crimes nazis, et donc
autorisant, par son silence même à leur sujet, la contestation des crimes communistes... soit due à un communiste. Je veux bien qu'on m'exhorte à exécrer chaque jour davantage les anciens
admirateurs d'Himmler, à condition que cette homélie comminatoire ne me soit point administrés par d'anciens admirateurs de Beria.
Jean-François Revel,
Le Figaro Magazine, 12 février 2000
Signature du pacte germano-soviétique par Molotov, ministre des Affaires soviétiques.Joachim von Ribbentrop, le ministre allemand des Affaires étrangères est immédiatement derrière lui, à côté de Staline en arrière-plan. En haut, un portrait de Lénine.
"Jusqu’à l’invasion de la Russie par les forces du Reich, les nombreux exemplaires de l’Humanité ronéotypés et glissés dans notre boîte aux lettres
n’étaient guère des modèles de résistance. J’’en conserve encore quelques exemplaires originaux. Les communistes jouaient plus sur la lutte des classes que sur la défense de la
patrie. Du reste, l’alliance de Staline avec Hitler en 1939 les avait jetés dans le parti de la non-intervention contre des prolétaires allemands, soldats malgré eux, disaient-ils, que
nous étions invités à considérer comme des camarades.
Du jour où la Russie fut attaquée par l’Allemagne, le ton changea radicalement, et les communistes se muèrent en patriotes exemplaires, s’arrogeant
tous les mérites de la Résistance »
par Louis Fontaine
Dans les années 1920, l'économiste libéral Ludwig von Mises avait déjà assimilé économiquement le nazisme à un socialisme, sachant que pour Mises, et encore aujourd'hui pour les conservateurs des États-Unis13, toute intervention de l'État dans l'économie, et par extension dans la société (les impôts par exemple), est considérée comme une caractéristique strictement socialiste14.
Cependant, c'est dans les années 1930 que Marcel Mauss va rapprocher communisme et fascisme (strictement dans ce sens) dans ses écrits sur le Bolchévisme15. Mais, « Il faudra toutefois attendre la fin de la guerre pour que Hannah Arendt précise et popularise cette parenté en condamnant conjointement hitlérisme et stalinisme dans ses différents travaux sur le système totalitaires qui auraient, à l'en croire, "banalisé le mal". Dans le climat de guerre froide qui régnait alors, cette assimilation entre les deux régimes rencontra un échos favorable dans de nombreux secteurs du monde occidental, et notamment dans les milieux russes, dont certains (ukrainien et géorgiens notamment) n'avaient pas répugné, durant l'occupation, à jouer contre Staline la carte nazie;... »16
En 1944, Ludwig von Mises, écrit dans son ouvrage « Omnipotent Government, The Rise of the Total State and Total War », que « Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme. »17.
L'Allemand Kurt Schumacher, dirigeant du Parti social-démocrate d'Allemagne (SPD, gauche) après 1945, et contemporain du nazisme et du communisme soviétique, déclara que les communistes étaient des « nazis repeints18. »
Dans la période de guerre froide et après la chute de l'URSS, différentes comparaisons entre stalinisme et nazisme ont été faites assimilant ainsi le communisme au nazisme (et non l'inverse). Ainsi, Ernst Nolte19, Robert Conquest20, Alain Besançon21,22 ou Stéphane Courtois23 se sont penchés à partir d'analogies sur la question du communisme comme matrice du nazisme. L'historien François Furet répond à Ernst Nolte en apportant ses points de convergence et de divergence : cette correspondance est publiée en 1998 sous le titre Fascisme et communisme.
Wikipédia
Siège du Comité Centrale (CC) du Parti Communiste Français au 44 rue Le Pelletier (9e arrondissement), de l'Humanité et de le Confédération Générale du
Travail (CGT).
Les trois sièges sont drapés d'un crêpe noir. Des fleurs et des mots sont accrochés à une grille, signatures dans la rue et surtout, long défilé à
l'ambassade soviétique où une foule souvent émue, apportant parfois des fleurs, vient présenter ses condoléances à l'ambassadeur et signer le livre rendant hommage à Staline.
Encore plus d'État, nationalisation des entreprises avec l'argent des contribuables, lutte contre libéralisme mal absolu, contre le méchant capital et contre le privé, interventionnisme de l'État, planification et régulation de tout ce qui bouge, le Front national veut appliquer le programme économique de Jean-Luc Mélenchon.
Écoutons Nicolas Bay, secrétaire général adjoint du FN, essayer de nous raconter tout ça.
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Pour ceux qui trollent encore avec la loi 1973 et donc qui sont pour pour utiliser la planche à billet à fond les rotatives et saigner le pouvoir d'achat des gens
via une inflation démesurée... pas sympa pour les pauvres, ça, car l'inflation est une usure qui touche toutes les classes sans distinction et vis à vis de laquelle les plus défavorisés sont
les plus sensibles.De plus imprimer de la monnaie n'enrichit personne mais se contente de dissoudre la richesse existante dans la monnaie totale et de dissoudre d'autant plus cette richesse que
l'on imprime des billets.
L'inflation touche plus les pauvres car les riches peuvent quitter à temps le pays et revenir après l'inflation avec une fortune supérieure car la dévaluation
associée à cette inflation augmente la valeur relative de leurs avoirs à l'étranger. L'inflation augmente donc l'écart entre riches et pauvres...
Tout le monde peut observer que le pain ou tout autre produit ne fait qu'augmenter, mais ce n'est pas le produit qui augmente, c'est la valeur du billet de banque
que vous avez en main qui diminue.Et si ce billet de banque ne cesse de perdre de la valeur, c'est à cause du genre de politique que vous défendez.
De plus, le coupable, c'est l'Etat obèse qui s'endette pour financer ses dépenses publiques et non les banquiers qui ne font que répondre à une demande.
Si quelqu'un est alcoolique, ce n'est pas la faute du vigneron :
https://www.facebook.com/photo.php?fb...
Et puis la loi de 1973 n'interdit même pas à l'Etat d'emprunter à la Banque de France, elle interdit seulement au Parlement de prendre l'initiative de cette
mesure, entre autres réformettes:https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_n%C...
Trois petits liens pour arrêter de troller avec cette histoire de loi 1973 :
Deux de gauche :
http://www.lemonde.fr/idees/article/2...
http://www.lemonde.fr/idees/article/2...
Un libéral :
http://h16free.com/2011/11/28/11407-p...
Un autre :
http://archives-lepost.huffingtonpost...
http://www.wikiberal.org/wiki/Socialisme
http://www.wikiberal.org/wiki/Social-nationalisme