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La Hollandie elle crée Impôts, Dépenses, Dettes. Socialodissime !!

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Loin de marquer une pause fiscale, le budget pour 2014 marque une nouvelle envolée des impôts : 10 milliards pour les ménages et 2,5 milliards pour les entreprises.

 

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Ils portent à 60 milliards, soit 3,3 % du PIB, les nouveaux prélèvements depuis 2012. Dans le domaine fiscal, les Français ne sont pas condamnés à la probation mais bien à une quadruple peine.

 

BUqdXxTCMAAeayg.jpgEn Hollandie:  un gouvernement de "glands"


Première peine : la paupérisation.

Le pouvoir d'achat diminue de plus de 1 % par an depuis l'élection de François Hollande du fait des prélèvements supplémentaires. La pauvreté touche 14,3 % de la population et 40 % des chômeurs. Le président prétendait faire payer les riches. La fiscalité confiscatoire mise en place sur les hauts revenus et les grandes fortunes a effectivement multiplié les exils et les abandons de nationalité française. Mais tous les Français sont touchés par le choc fiscal, comme en témoigne la hausse de la TVA. Avec un ciblage spécifique des classes moyennes et des familles. L'impôt est désormais proportionnel au nombre d'enfants. L'avenir dira si la vitalité démographique de la France, qui était l'un de ses rares atouts, résiste à ce tir de barrage fiscal.

 

 

 

 

Nicolas Doze décrypte les mensonges de François Hollande lors de son interview du 15 septembre 2013.

Par Prof Kuing


Deuxième peine : la dégradation accélérée des services publics.

Alors que la dépense publique atteint 57 % du PIB et que plus du quart de l'emploi relève de la fonction publique, la qualité des services rendus par les administrations s'effondre. C'est particulièrement vrai de la sécurité, qui constitue le premier des droits de l'homme. L'explosion de l'insécurité et de la violence, dont Manuel Valls ne nie plus la réalité, n'épargne aucun citoyen ni aucun territoire : elle frappe les classes moyennes, les campagnes, les établissements scolaires, les hôpitaux... La paix civile n'existe plus dans un pays où l'État a perdu le contrôle, de manière sans doute irréversible, de zones et de populations entières, à l'exemple du nord de Paris, de Marseille ou de la Corse. De même, toutes les enquêtes soulignent la chute des performances du système de santé ou de l'éducation, qui, en Europe, occupe désormais la queue du peloton. Plus les impôts augmentent, moins l'État fonctionne.

 

 

Pas de pause fiscale et 1,2 million de foyers fiscaux vont payer l'impôt sur le revenu, perdant ainsi les avantages attribués par l'État obèse aux non-imposables.
C'est très pédagogique, ils vont ainsi comprendre que l'État-providence a un coût.
En attendant, l'État est toujours incapable de baisser la dépense publique, ce n'est pas dans son logiciel et il enfume les gens.

Casting : Jérôme Dedeyan, Ghislaine Ottenheimer,Augustin Landier et Nicolas Doze


Troisième peine : le blocage de la croissance et de l'emploi.

François Hollande répète en boucle - peut-être pour s'en persuader - que la crise est finie et que la reprise est engagée. C'est vrai aux États-Unis, en Allemagne ou au Royaume-Uni. C'est faux en France. Notre pays est sorti de la récession mais entre dans une longue stagnation. En cassant tous les ressorts de l'activité, le choc fiscal nous coupe de la reprise qui se dessine dans les pays développés. Les flux économiques - c'est-à-dire la croissance - sont bloqués. Les stocks - c'est-à-dire les patrimoines - diminuent avec les prélèvements confiscatoires sur le capital. La consommation recule sous l'effet de la diminution du pouvoir d'achat et de l'augmentation du chômage, qui touche 10,9 % de la population active. La production reste inférieure de 2 % à son niveau d'avant la crise et jusqu'à 20 % dans l'industrie. Les exportations baissent de 2 % quand elles ont augmenté de 8 % en Allemagne et en Espagne. L'investissement se replie de 3 % en raison de la contraction historique des marges des entreprises (28 % de la valeur ajoutée), dont les charges sont deux fois supérieures à celles de leurs concurrentes allemandes.

 

 

Par Prof Kuing: La dette de l'État français atteint 2000 milliards soit le PIB de la France.
Le petit Français qui nait aujourd'hui a déjà 30 000 euros de dette sur les épaules.
Cet argent n'a pas été investi mais a seulement servi à payer de la dépense courante.
Et cette dette dépend de prêteurs étrangers à 70% qui peuvent retirer leurs billes à tout moment.
Nicolas Doze.


Pour ceux qui trollent encore ici avec la loi 1973 :
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Et donc qui sont pour pour utiliser la planche à billet à fond les rotatives et saigner le pouvoir d'achat des gens via une inflation démesurée... pas sympa pour les pauvres, ça, car l'inflation est une usure qui touche toutes les classes sans distinction et vis à vis de laquelle les plus défavorisés sont les plus sensibles.De plus imprimer de la monnaie n'enrichit personne mais se contente de dissoudre la richesse existante dans la monnaie totale et de dissoudre d'autant plus cette richesse que l'on imprime des billets.

L'inflation touche plus les pauvres car les riches peuvent quitter à temps le pays et revenir après l'inflation avec une fortune supérieure car la dévaluation associée à cette inflation augmente la valeur relative de leurs avoirs à l'étranger. L'inflation augmente donc l'écart entre riches et pauvres...

Tout le monde peut observer que le pain ou tout autre produit ne fait qu'augmenter, mais ce n'est pas le produit qui augmente, c'est la valeur du billet de banque que vous avez en main qui diminue.Et si ce billet de banque ne cesse de perdre de la valeur, c'est à cause du genre de politique que vous défendez.

De plus, le coupable, c'est l'Etat obèse qui s'endette pour financer ses dépenses publiques et non les banquiers qui ne font que répondre à une demande.

Si quelqu'un est alcoolique, ce n'est pas la faute du vigneron.https://www.facebook.com/photo.php?fb...

Et puis la loi de 1973 n'interdit même pas à l'Etat d'emprunter à la Banque de France, elle interdit seulement au Parlement de prendre l'initiative de cette mesure, entre autres réformettes:https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_n%C...

Trois petits liens pour arrêter de troller avec cette histoire de loi 1973 :

Deux de gauche :

http://www.lemonde.fr/idees/article/2...

http://www.lemonde.fr/idees/article/2...

Un libéral :

http://h16free.com/2011/11/28/11407-p...

Un autre :

http://archives-lepost.huffingtonpost...

 

 

Quatrième peine : la poursuite des déficits et du surendettement publics. Au Royaume-Uni, la politique d'austérité a permis de réduire fortement les déficits. Il en va de même aux États-Unis, où les coupes automatiques de dépenses ont, cette année, divisé par deux le déficit budgétaire. Il n'en est rien en France. La seule justification du choc fiscal était de ramener le déficit public à 3 % du PIB en 2013 ; il sera de 4,1 % et atteindra au moins 3,6 % l'an prochain, ce qui portera la dette à 95 % du PIB. La récession, la multiplication des faillites d'entreprises, l'envolée du chômage, la paupérisation des Français n'ont servi à rien. Les finances du pays n'ont nullement été rétablies. Et ce pour une raison simple : la poursuite des dépenses. François Hollande disait vouloir désendetter l'État, il s'est contenté d'augmenter le nombre des fonctionnaires - à commencer par l'embauche de 60 000 professeurs totalement inutiles, comme l'a montré la Cour des comptes - et de relancer la course folle des transferts sociaux : retour partiel à la retraite à 60 ans, pénibilité, hausse des minima sociaux et de la prime pour l'emploi, allocation de rentrée scolaire, emplois aidés... La France ne génère plus ni croissance, ni investissement, ni emplois marchands ; elle crée des impôts, des dépenses et des dettes.

 

BUudPIqCcAAWJVg.jpgEt attention, voyez ce qui pourrait vous attendre de pire...Ils sont tous les mêmes, constructivistes et (anti-libéralisme De Gaulle le disait et sarkozy aussi)


Le choc fiscal de François Hollande constitue la plus lourde erreur de politique économique depuis la relance de 1981. Les séquelles en seront durables sur la croissance potentielle, qui se trouve pratiquement ramenée à zéro par la paupérisation des Français, par le rétrécissement de l'appareil de production, par la régression de l'investissement et le blocage de l'innovation, par la nouvelle vague de chômeurs structurels. Au principe de la débâcle, on trouve une conception biaisée de l'impôt. Il relève des moyens et doit être un instrument au service de la couverture des charges publiques. Il a été érigé en fin, en objectif politique et moral, pour placer les Français en situation d'égalité dans la pauvreté et pour les enchaîner à la ruine de l'État.

 


Par

 

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