fake? antisémitisme? ou
vérité? Dans tous les cas le problème s'il existe se pose, quoi faire?
Nous sommes entrain d’assister à la RENAISSANCE DE L’ESCLAVAGE.
Un esclave est un être humain dont on use comme d’une bête. On l’achète et on le vend, il ne dispose d’aucun liberté, il n’est pas reconnu comme faisant partie de la RACE HUMAINE.
Dans le document qui suit, on vous décrit les conséquences de la loi qui vient de passer qui sera suivie de celle autorisant les mères-porteuses et l’adoption des enfants par des personnes de même sexe.
Il en résulte que les enfants qui feront l’objet de cette nouvelle ‘’ traite ‘’, seront des esclaves. De plus ils viennent ex nihilo !
Ils seront achetés et vendus, on nous fait croire que c’est ‘’ par amour ‘’, mais qui aujourd’hui peut parler d’amour ? Nous le voyons bien chez nous et autours de nous, combien de tensions, de luttes, de guerres et de divorces !
Tient, oui, dans ce dernier cas, que devient l’enfant ? Il ne connaît pas ses parents réels, et ses ‘’ parents adoptifs ‘’, que font-ils décider ? Le vendre ? ( Ils l’ont bien acheté ), En disposer ?
Réfléchissons bien au problème que nos hommes politiques ( de droite et de gauche ) nous posent et nous imposent. C’EST INACCEPTABLE
Par Baudouin de Lapasse
Source: IHEDN
Mères porteuses en Inde, vente par le net!
http://www.dailymotion.com/video/xes5mf_google-baby-bebes-en kit_webcam#.UWnP4qXGdCc
Doron, un entrepreneur Israélien high tech, a lancé une nouvelle offre de service: la production de grossesse.
- La grossesse se fait en Inde (c’est moins cher)
- Le matériau génétique est sélectionné par les clients via une interface web
- le sperme et les ovules s’achètent en ligne
- les embryons fabriqués sont congelés et expédiés par avion en Inde
- ils seront implantés dans l’utérus de mères porteuses locales (Inde) c’est moins cher !
- Les clients se présentent à la fin des 9 mois de grossesse pour récupérer leur bébé.
- Il suffit d’une carte de crédit pour acheter bébé
Note du producteur du film :
Il m’a fallu 3 ans pour concevoir ce film. Au fur et à mesure de son avancement j’ai compris que très peu de gens comprennent que les bébés sont en train de devenir un bien de consommation et qu’à ce titre, la mondialisation de l’économie, avait un profond impact sur cette industrie naissante.
Nous avons filmé aux Etats-Unis, en Israël et en Inde dans la clinique du Dr Patel. Au début du tournage elle avait 70 mères porteuses enceintes, à la fin du film elle en gérait 250.
Je comprends que ces cliniques de mères porteuses puissent choquer mais après avoir passé beaucoup de temps en Inde dans la clinique du Dr Patel, je commence à comprendre son point du vue. Pour elle, c’est la seule façon pour des femmes en milieu rural de changer de vie et d’assurer l’avenir de leurs enfants.
Certes les questions d’éthique soulevées par cette nouvelle industrie sont longues. Par exemple nous n’avons pas mis dans le film l’histoire de la petite Manjhi dont les «acheteurs » japonais avaient divorcés avant sa naissance. Après une longue bataille juridique, les grands parents japonais l’ont finalement adoptée 3 mois après sa naissance. J’ai essayé de ne pas porter de jugement moral dans ce film. Pour certains, ces procédés sont un miracle pour d’autres une machine infernale...De toute façon les choses vont se corser car je suis persuadé qu’à l’avenir cette forme de reproduction ne sera plus une solution en dernier ressort mais celle de femmes qui veulent éviter une interruption de carrière ou des vergetures.
Je suis horrifié par les aspects mercantiles de cette industrie de la reproduction. En l’absence de règles éthiques et de morales, l ‘économie mondialisée donne la pleine mesure de son efficacité. Pas de barrière légales, profits vertigineux : tous les ingrédients sont là pour que l’industrialisation de la reproduction humaine explose.
« Google Baby » est un aperçu d’un sujet dont je suis convaincu qu’il va devenir un problème majeur pour le futur de l’humanité.
Explications plus précises
Google Baby est un voyage à travers trois continents qui raconte l'histoire de l'industrie montante de la production de bébés à l'âge de la mondialisation.
Doron, un entrepreneur israélien doté d'un background high tech propose un nouveau service – la production de grossesses. Le producteur de grossesses (comme il se présente) fournit une solution rentable à ses clients grâce à sa délocalisation d'éléments de GPA en Inde, qui en abaisse les coûts. Le matériel génétique souhaité est choisi par les clients à partir de leur ordinateur : le sperme et les ovocytes s'achètent en ligne, des embryons multiples sont produits, congelés, emballés et envoyés en Inde par avion, où ils sont implantés dans les utérus des mères porteuses locales. Les clients n'arrivent qu'à la fin des neuf mois de grossesse pour prendre livraison de leurs bébés.
Aujourd'hui, la technologie a transformé le fait de « faire un bébé » en acte indépendant du sexe. Et la mondialisation la rend abordable. Tout ce dont vous avez besoin est une carte de crédit. Les instructions sont accessibles à tous sur Youtube.
Déclaration du Réalisateur
J'aime bien les tableaux d'affichage. Durant mes études à l'université de Harvard, j'ai remarqué beaucoup d'affichettes, sur les tableaux d'affichage du campus, qui offraient de 50 000 à 70 000 dollars à des jolies jeunes femmes diplômées. La technicité de ce nouveau type d'enfantement, et le fait que la grossesse pouvait être réduite à ses éléments constitutifs, puis recomposée en les mélangeant et en les appariant sur Internet m'ont intrigué.
La recherche et le tournage du documentaire ont pris presque trois ans. A mesure de notre travail, j'ai réalisé de plus en plus clairement à quel point les gens sont totalement ignorants du fait que les bébés sont en train de devenir des marchandises, et il devenait évident que la mondialisation a un immense effet sur le développement du business de la production de bébés. Les coûts locaux et les obstacles légaux sont pris en main par des opérateurs internationaux. Nous avons filmé aux USA, en Israël et en Inde, où nous avons fait trois voyages pour le tournage du documentaire. Quand nous avons commencé à filmer dans la clinique du Dr Patel à Anand, en Inde, elle avait 70 mères porteuses « au travail ». A la fin du tournage, lors de notre dernier séjour, elle avait plus de 250 mères porteuses et d'autres docteurs, à Mumbai, commençaient à offrir les mêmes services. De toute évidence, l’activité se développe très rapidement.
Je comprends ceux qui considèrent la délocalisation de la GPA en Inde, à un coût bien moindre qu'en Occident, comme de l'exploitation. Malgré tout, après avoir passé du temps en Inde, je partage davantage l'avis du Dr Patel et l'agenda féministe qu'elle propose. Le Dr Patel pense que, pour ces femmes rurales de l'Inde, la GPA est presque la seule façon de changer sa vie. Elles transforment leur vie, les vies de leurs familles et de leurs enfants en leur apportant un logement et la possibilité d'une éducation.
Pourtant, cette nouvelle industrie en développement soulève aussi une longue série de questions éthiques. Par exemple, le cas de Manjhi, qui n'a pas été inclus dans le film. Manjhi est une petite fille née d'un couple japonais via une mère porteuse indienne. Entre sa conception et sa naissance en Inde, les parents qui l'avaient commandée ont divorcé. Comme celle qui allait devenir sa mère et le père n'en voulaient plus, ils ont refusé de venir la chercher auprès de se mère porteuse en Inde. La mère porteuse a fait l'objet de pressions de la part des autorités indiennes pour qu'elle adopte le bébé, mais elle ne voulait pas de Manjhi non plus. La clinique a soutenu la mère porteuse devant les tribunaux. Pour finir, la grand-mère paternelle de Manjhi a a accepté de la garder. Manjhi a été emmenée à Tokyo trois mois après sa naissance.
J'ai choisi de ne pas donner de point de vue personnel dans ce film. Les gens ont souvent des opinions très tranchées à ce sujet, et ce qui est perçu comme le salut pour les uns est vu comme diabolique par d'autres. La situation ne va faire que se compliquer, parce que je pense qu'à l'avenir, la GPA ne sera pas employée en dernier recours, mais plutôt comme une alternative pour des femmes qui ne veulent pas de vergetures ou ne souhaitent pas interrompre leur carrière pour une maternité.
L'aspect mercantile de l'industrie de la reproduction m'intrigue autant qu'il m'effraie. A cause de l'absence de règles morales ou d'éthique, l'économie mondiale est exploitée en toute liberté. De cette façon, sans barrières légales à dépasser et avec beaucoup d'argent à gagner, l'industrie de la reproduction humaine est en plein essor. Un business froid et distant uniquement guidé par les principes de l'économie de marché traite, sans le moindre garde-fou, la question la plus délicate qui soit. A travers Google Baby, j'ai tenté de donner un aperçu de ce qui va probablement devenir l'un des problèmes majeurs de l'humanité de demain.
Protagonistes
Dr. Naya Patel est une des spécialistes mondiales de la FIV. Elle a monté une entreprise florissante de ventres indiens pour clients occidentaux. La clinique du Dr Patel a transformé la petit ville d'Anand, dans le nord de l'Inde, en une capitale mondiale de la GPA. Sa clinique est d'un niveau comparable à ceux des meilleures cliniques occidentales et elle supervise des centaines de femmes locales qui portent les embryons de sa clientèle internationale. La GPA est un tabou social en Inde, de telle sorte que les femmes vivent à la clinique pendant toute la durée de leur grossesse. Les familles, dans la plupart des cas, ne sont pas au courant. Le Dr Patel pense que sa clinique offre non seulement une planche de salut à ses clients affligés de difficultés de reproduction, mais aussi, pour des femmes indiennes rurales, une chance d'améliorer leur situation sociale.
Doron Mamet est un entrepreneur israélien qui a abandonné une position prestigieuse pour devenir ce qu'il appelle un « producteur de bébés ». En ouvrant sa compagnie, Tammuz, Doron Marmet a créé une nouvelle solution dans un marché prospère qui aspire à des produits occidentaux génériques aux prix abordables du marché asiatique. Son agence fournit des services de production de bébés en connectant clients, donneurs, mères porteuses et cliniques à travers le monde.
Dr. Gad Lavy est l'opérateur américain de l'entreprise « Est-Ouest » de GPA de Doron. Il crée des embryons à partir de sperme et d'ovocytes qu'il reçoit dans son centre indépendant de fertilité de Nouvelle-Angleterre, l'une des cliniques de fertilité les plus actives et prospères des USA. Les embryons sélectionnés sont envoyés par avion en Inde pour y être implantés dans les ventres des mères porteuses locales.
Lyne Macklin-Fife est administratrice du programme pour Egg donation Inc, la première entreprise de courtage en ovocytes humains en ligne. Basée en Californie, leur banque de données en ligne contient plus de mille donneuses d'ovocytes venues de tous les états des USA, et dont les profils complets (photos incluses) sont accessibles sur Internet aux acheteurs éventuels ainsi qu'aux médecins.
Katherine Gaylean est une donneuse d'ovocytes très demandée et l'une des principales fournisseuses d'Egg Donation Inc. Les ovocytes de Katherine ont été prélevés trois fois et à chaque fois, le client a reçu plus de vingt ovocytes sains. Elle vit dans le sud du Tennessee avec son mari et leur deux filles. Elle a décidé de donner ses ovocytes à la fois pour aider des gens à réaliser leurs rêves de parentalité et pour financer la maison de ses rêves.
Credits
Produit & Réalisé par Zippi Brand Frank | Cinématographie par Uri Ackerman | Monté par Tal Rabiner | Musique de Karni Postel | Conception Son par Itzik Cohen, Gadi Raz | Second RéalisateurShai Gal | Co-Producteur Zvi Frank | Cameramen Ronen Mayu, Ronen Schecner | Ingenieurs du Son Idan Shemesh, Ravid Dvir | Montage Online Yoav Raz | Post Production Edit Studios |Montage Son Jungle Sound | Producteur Superviseur Ronny Perry | Channel Manager Guy Lavie | Producteur Exécutif Yona Wiesenthal | Produit avec le soutien de Yes Docu DBS Satellite and Rabinovitch fund, Cinema project | Ventes mondiales Films transit International
Liens
· http://www.nytimes.com/2010/06/16/arts/television/16google.html
· http://www.npr.org/templates/story/story.php?storyId=127860111
· http://www.timesonline.co.uk/tol/news/world/asia/article7113463.ece
· http://seattletimes.nwsource.com/html/nationworld/2004100662_indiawomb31.html