Tout le monde se souvient du Tartuffe de Molière.
Donnant des leçons de morale à tout le monde, sur tous les sujets, »Cachez ce sein que je ne saurai voir« , il capture la confiance de celui qui l’avait hébergé (Orgon), et manœuvre pour que ce dernier lui donne tous ses biens, dépouillant ainsi toute sa famille. Seule une intervention du Roi, en fin de pièce, (à laquelle on ne croit guère) empêche l’horrible Tartuffe de jouir tranquillement des biens qu’ il avait volé.
Remplaçons Tartuffe par le Parti Socialiste et Orgon par la France et nous avons exactement le même scénario.
Notre nouveau Tartuffe, le Parti Socialiste entend s’accaparer tous les biens produits par les Français depuis la nuit des temps, alors qu’aucun de ses membres n’a jamais rien fait de ses dix doigts. Comme le Tartuffe, ils se servent de la « Morale »….pour voler les autres.La Morale est utilisée par nos socialistes comme un instrument de domination sur les autres et non pas comme quelque chose qui doit être vécu intérieurement.
Cette hypocrisie qui autorise une captation illégitime des biens que dans toutes les autres civilisations on a appelé « VOL » , voila qui toujours et partout a amené à un appauvrissement général, comme le décrit si bien Molière ( ou la parabole du Maitre et de la Vigne dans le nouveau Testament) et tel est le scenario qui se déroule sous nos yeux.
Comme Tartuffe, nos thuriféraires du « partage » (mot technique pour designer ce qui est en fait un vol) nous assurent qu’ils sont du bon coté de la Morale.Eux, ils sont « bons » leurs opposants sont « méchants ». (Voila une catégorie qui n’a RIEN à voir en Politique)
Eux, ils cherchent « le bien commun », tandis que leurs opposants ne cherchent qu’à s’enrichir personnellement. (voila une distinction qui n’a rien a voir avec l’économie)
La France, bonne fille (de l’Eglise Catholique, ou ce genre de discours a beaucoup sévi (NDLR ce qui est une remarque contre un certain clergé et non contre l’Eglise) ), convaincue de la pureté de leurs intentions leur a donc confié le Pouvoir politique, alors qu’ils exerçaient quasiment déjà tous les autres pouvoirs …
Hélas! Celui que la nouvelle Eglise avait mis en position de ruiner monsieur Orgon LEGALEMENT se découvre d’un seul coup être une crapule, sans aucune morale personnelle, qui ayant déjà dépouillé des gens dans un vie antérieure avait mis le produit de ses forfaits à l’abri des montagnes Helvètes. A moins qu’il ne s’agisse d’un lampiste, allez savoir avec ces grandes consciences…
Du coup, la grande confrérie des Tartuffes panique un bon coup et se met à crier « haro sur le baudet » qui a dévoilé le pot aux roses. (Un baudet qui dévoile le pot au roses, l’image est …hardie, mais rien ne me fait peur). Le danger pour tous nos Tartuffes est en fait que le voile ne se déchire et que les Français se rendent compte d’un seul coup et tous ensemble qu’ils sont gouvernés par des hypocrites malhonnêtes.
Le coup était déjà passé bien prés avec l’affaire ou les affaires DSK, mais voila qui commence à faire-un peu- désordre. Cahuzac+ DSK = Doute existentiel sur la qualité de nos élites, voila qui est dangereux.
Ils essayent donc d’expliquer qu’il s’agit là d’une faute « individuelle » , que cela n’a rien à voir avec eux que leurs intentions étaient et restent pures et qu’l ne faut pas oublier que le vrai ennemi n’est pas celui qui vole la richesse , mais celui qui la crée, la palme revenant à un article de Libération expliquant que le crime de monsieur Cahuzac trouvait sa source dans le Libéralisme ambiant…Las.
La France, comme chacun le sait a une Presse de qualité qui ne survivrait pas une seconde sans les subsides de l’Etat. D’ou la farouche indépendance dont elle fait preuve sans arrêt dans la recherche des vraies responsabilités.Mais est ce bien sur qu’il s’agit là d’un crime individuel?
Se pourrait-il que ce soit non pas la pratique du Socialisme par certains qui serait fautive, mais l’essence même de cette nouvelle religion qui soit pourrie?En toute honnêteté, je me contrefous de monsieur Cahuzac et de ses turpitudes. La réalité est que Socialisme , Tartufferie et Crime sont consubstantiels et qu’il ne peut pas en être autrement .
Revenons à la source de toute vraie corruption qui n’est jamais l’argent mais le Pouvoir. Le corrompu est TOUJOURS quelqu’un qui dispose d’un pouvoir POLITIQUE et qui se fait acheter. De nombreuses études ont été faites sur la corruption dans tous les pays du monde, des classements sont publiés chaque année, des think tanks se penchent sur ces problèmes en temps réel et les conclusions sont toujours les mêmes: ce qui crée la corruption, c’est l’accès sans contrôle par les détenteurs du pouvoir politique à de l’argent qu’ils n’ont pas gagné.
Mettez des hommes devant la possibilité de transformer de l’argent public dans de l’argent privé, et un certain nombre d’entre eux succomberont à la tentation. C’est ainsi , et cela se passera toujours ainsi. (Voir Zadig (si vous ne trouvez pas demandez à Monsieur Frédéric Lefebvre))En fait, dans tous les classements internationaux de la corruption, il existe une corrélation quasiment parfaite entre le poids de l’Etat dans l’économie et l’indice de corruption, et c’est bien normal , il ne peut pas en être autrement.
Et comme le poids de l’Etat ne cesse de monter dans notre économie (à cause des Socialistes, certes mais aussi hélas à cause d’une droite Française stupidement Etatiste), la France ne cesse de reculer dans tous ces classements pour se retrouver à des niveaux de pays assez peu réputés pour l’éthique de leur classe politique.Et le pire est que la population s’y habitue et trouve cela « normal ».
Prenons quelques exemples de corruption patente et qui pourtant n’ont alarmé personne:
-Un Président de la République a un enfant adultérin, ce qui ne me regarde pas et dont je me contrefous. Il fait entretenir cet enfant par les deniers publics, ce qui constitue un crime habituellement appelé « abus de biens publics ». Corruption.
-Un autre Président de la République vit avec une compagne avec laquelle il n’est pas marié. Il n’existe donc aucun lien juridique entre eux. C’est son droit et je n’ai rien à en dire. La République, c’est à dire nos impôts, entretient à grands frais un secrétariat pour cette personne et la défraie de tous les voyages qu’elle effectue. La République n’ a pas à entretenir les Pompadour de nos élus. Corruption
-Les journalistes bénéficiaient d’un abattement fiscal de 7 500 euro par an. Cet abattement fut supprimé par Chirac. Cette suppression fut confirmée par Sarkozy . L’une des premières décisions de monsieur Hollande une fois élu fut de rétablir ce privilège, alors même que la France est dans une situation fiscale épouvantable. Celle qui menait le combat pour ce rétablissement se trouve être la compagne du Président ,mentionnée plus haut, et qui est journaliste. Trafic d’influence et corruption.
Le sommet de l’Etat donne l’exemple, comme chacun peut le voir tous les jours. Descendons un peu.
La France a population égale à 40 % de fonctionnaires de plus que l’Allemagne . Pourquoi? Parce que des petits barons locaux tels que Les Guérini à Marseille ont accès à de l’argent public sans contrôle aucun et s’en servent pour se constituer des clientèles électorales en embauchant sur ces fonds des gens qui n’ont rien à faire (Voir le livre » Absolument débordée » de Zoé Shépard.) Trafic d’influence et Corruption.
Le lecteur aura compris…Comme le disent les Chinois, les poissons pourrissent par la tète. Et nos poissons ne sentent pas bon, mais pas bon du tout. Et ils ne savent même plus qu’ils puent! Et ceci confirme une vieille vérité de la Science Politique.Dans un pays, plus la classe dirigeante parle de quelque chose, moins cette chose est présente dans la réalité . Tout le monde se souvient de la République Démocratie Allemande , qui n’était ni une République, ni une Démocratie, ni Allemande …
Aujourd’hui tout la classe jacassière comme l’appelait Raymond Barre ne parle que de » morale », tout simplement parce qu’elle a complètement disparu de l’espace public . De même « ON »ne parle que de croissance économique et que d’emplois , alors que toutes les décisions prises leurs sont hostiles. Bel exemple de ‘pensée magique » …
Mais il y a plus grave.
Abélard, le grand philosophe Français, au XII siècle a introduit une distinction essentielle entre la morale et le Droit (voir sur ce site« Au secours Abélard, ils sont devenus fous« ), et cette distinction a permis l’émergence de la société civile et de la Démocratie chez nous.Une faute contre la morale s’appelle un péché et punir un péché ne relève en rien de la Loi.
Un crime par contre relève de la Loi et met en œuvre pour être puni le privilège de la Violence Légitime dont seul l’Etat dispose.Les socialistes, en parlant sans arrêt de ‘morale », essaient de réintroduire dans la Société la punition du péché, ce qui est un recul juridique inimaginable dans la mesure ou cela donne aux Clergé de leur nouvelle religion le droit de punir des intentions et non pas des délits.
Le clergé Socialiste a donc accès a la violence légitime pour punir ceux dont ce même clergé pense qu’ils ont commis des péchés.Quel recul !
Parallèlement, ce même clergé s’octroie le privilège de ne pas sanctionner ce que la Loi définit comme un Crime, puisque dans leur morale à géométrie variable , n’est un crime que ce que eux ont décidé après coup avoir été un crime.. C’est ce à quoi fait allusion Madame Taubira quand elle dit qu’il faut débarrasser nos Lois de leurs relents Judéo- Chrétien. Le but est donc bien de remplacer un Droit objectif, fondée sur les dix commandements , par une morale subjective fondée sur les intentions et non pas sur les résultats.
On remplace « Tu ne voleras point » ce qui est assez clair, par, « Tu pourras voler si la majorité décide que la personne a qui tu voles est trop riche » (« Je hais les riches… »).Or une Société ne peut être fondée sur la morale, elle ne peut être fondée que sur le Droit, et cette réalité est aussi l’essence même du Libéralisme. Dans une société Libérale, Tartuffe ne peut voler son argent. Il doit le gagner.
Le Saint Patron du socialisme est et à toujours été Tartuffe et nous en avons des preuves éclatantes tous les jours. Et jamais plus que quand les Socialistes sont au pouvoir.
Par Charles GAVE
Tartuffe, Saint patron des socialistes
Source et franc remerciement:
Information de wikibéral sur Charles GAVE:
Charles Gave, né le 14 septembre1943, spécialiste des marchés financiers, est le fondateur de GaveKal Research, GaveKal Securities et de GaveKal Capital, dont il est aussi le Président. Il crée en 2012, L'institut des Libertés, Think tank Libéral qu'il préside.
Après avoir commencé sa carrière comme analyste financier dans une banque d'affaires française, il crée en 1974 une entreprise de recherche économique indépendante, Cecogest. En 1986, il diversifie son activité vers la gestion de portefeuille et devient le cofondateur de Cursitor-Eaton Asset Management, qui est ensuite vendu en 1995 à Alliance Capital.
C'est en 1995 que Charles Gave crée Gavekal Research, Gavekal Capital et Gavekal Securities, trois entreprises dont le siège est aujourd'hui à Hong Kong. Charles Gave est membre de nombreux conseils d'administration, notamment Global Fund Analysis, The Eureka Fund, the Asia Absolute Fund. Diplômé de l'université de Toulouse (DECSS d'économie) et de l’université de Binghamton (MBA), il a été en contact épistolaire avec Milton Friedman pendant vingt ans et l'a rencontré à plusieurs reprises. Milton Friedman a d'ailleurs préfacé son premier livre en français (Des Lions menés par des Ânes, 2003).
En 2012, il lance l'Institut des Libertés, unthink tank libéral français, après sa rupture avec l'Institut Turgot.
Publications
- 2003, Des lions menés par des ânes : Essai sur le crash économique (à venir mais très évitable) de l'Euroland en général et de la France en particulier
- 2005, Un libéral nommé Jésus, Bourin Editeur, [lire en ligne], ISBN 2849410209
- Our Brave New World, avec Anatole Kaletsky et Louis Vincent Gave (ce livre traite des conséquences macroéconomiques de la mondialisation et de la révolution numérique)
- 2006, C'est une révolte ? Non, Sire, c'est une révolution !, Bourin Editeur, ISBN 284941042X
- 2009, Liberal mais non coupable, Bourin Éditeur, ISBN 284941137X
- 2010, L'Etat est mort, vive l'état, Bourin Éditeur, ISBN 2849411922
Citations
- « La France est un pays où deux adultes consentants peuvent tout faire ensemble - sauf travailler l'un pour l'autre. »
- « Les grands problèmes économiques sont toujours créés par des erreurs, au nombre de 5 : une guerre ; une hausse des impôts (qui amène une aggravation du déficit budgétaire) ; une poussée protectionniste ; une augmentation des règlementations ; une erreur de politique monétaire. »
- « Les crises financières ont, en pratique, beaucoup à voir avec la pêche à l’explosif. Quand une grenade explose en profondeur, on voit d’abord remonter, le ventre à l’air, les plus petits poissons. C’est seulement au bout d’un certain temps que l’on voit remonter les baleines ! » (Extrait de Libéral mais non coupable, 2009
Lien externe
(fr)Institut des LibertésEn bon libéral, j’accepte toujours la discussion avec ceux qui ne partagent pas mes points de vue, en vertu du principe exprimé par le plus grand Président que les Etats-Unis aient connu qui disait aux partisans de l’esclavagisme : « Je déteste tout ce que vous dites, mais je détesterai encore plus un pays ou vous ne pourriez pas le dire ».
Par Charles Gave
Je le confesse, et sans aucune honte, je suis libéral autant qu’on peut l’être.
En bon libéral, j’accepte toujours la discussion avec ceux qui ne partagent pas mes points de vue, en vertu
du principe exprimé par le plus grand Président que les Etats-Unis aient connu qui disait aux partisans de l’esclavagisme : « Je déteste tout ce que vous dites, mais je détesterais encore plus
un pays ou vous ne pourriez pas le dire ».
Ce qui m’amène à mon sujet, c’est-à-dire au moment ou je n’ai plus envie de discuter avec celui qui est en face de moi non pas parce qu’il serait incompétent, ce qui peut se corriger, mais
parce qu’il est de mauvaise foi, ce qui est insupportable.Je me surprends à dire, « Monsieur brisons en là, vous êtes un âne » quand on m’oppose les arguments suivants:
- « Le libéralisme est d’origine Anglo-Saxonne et en y adhérant vous trahissez le génie Français, exprimé par exemple dans les Lumières »
Voila deux grosses bêtises en une seule phrase. D’abord une bonne moitié des grands théoriciens du libéralisme dans l’histoire ont été Français (citons au passage Montesquieu, Benjamin Constant, Say, Tocqueville, Bastiat, Rueff, Raymond Aron, Jean- François Revel, qui tous se sont attachés à expliquer la relation qui unissait le marché à la démocratie) tandis qu’une bonne partie du reste ont été Autrichiens (Von Mises, Hayek, Schumpeter), les anglo-saxons constituant une illustre cohorte, mais sans doute moins fournie en nombre (mon préféré étant Milton Friedman tant il avait comme Bastiat le génie de la vulgarisation).
Ces esprits faibles confondent la réflexion théorique avec l’application dans la réalité. Le fait que les élites gouvernantes françaises n’aient jamais voulu appliquer le libéralisme dans la pratique si l’on excepte de courtes périodes au XIX eme et un peu au début de la V République alors que les Etats-Unis et l’Angleterre s’en inspiraient massivement porte simplement condamnation de la nullité de nos élites qui ont amené en deux siècles et demi notre pays de la première puissance mondiale à un « Lander » allemand et du plus grand créateur culturel à un pays rempli de musées et mort à la Culture.
Quant aux Lumières, le Libéralisme représente, et représente SEUL la pensée des Lumières appliquée à la création de richesse et à la seule justice sociale qui compte, c’est-à-dire comment arriver au plein emploi. Le fait que les mots « Lumières » et « Libertés » aient été capturés au XIX par des gens qui soutenaient et soutiennent encore le socialisme et son cortège d’assassinats , de génocides, de ruines financières et économiques relève de la captation d’héritage. Le Libéralisme a, comme clé de voute la Liberté, comme son nom l’indique, tandis que pour le socialisme, c’est le goulag.
- « Le Libéralisme est d’extréme droite » Quelle imbécillité foudroyante ! Au XIX eme siècle, trois personnes débattaient dans la sphère politique. 1/Le conservateur, qui pense que pour régler les problèmes, il faut en chercher les solutions dans le passé et empêcher tout mouvement (Metternich). 2/Le socialiste, qui a un plan dans sa tête sur la façon dont les choses devraient marcher et qui veut conquérir l’Etat pour l’imposer par la force (Lénine en version dure ou Mitterrand en version molle).3/ Le libéral enfin qui pense que les progrès se font par petits sauts minuscules, améliorant le sort de tout un chacun et que pour cela la Liberté est nécessaire et que l’Etat dans le monde moderne est le principal ennemi des Libertés comme l’avait fort bien compris Jouvenel par exemple. Les socialistes qui dominent le discours actuel nous servent le sophisme suivant sans cesse : vous êtes contre l’augmentation du poids de l’Etat dans l’économie, donc vous êtes en faveur des riches, donc vous êtes contre les pauvres. A cela une seule réponse : pendant les années Mitterrand, les dépenses sociales ont augmenté plus vite en GB avec madame Thatcher qu’en France, parce que là- bas, on avait favorisé les entrepreneurs à la place de les faire fuir. Du coup, les Anglais bénéficiaient du plein emploi et les pauvres étaient plus riches chez eux que chez nous et surtout , ils retrouvaient leur dignité en trouvant un travail…
- « Le Libéralisme serait la loi du plus fort appliqué à l’économie. » Le libéralisme, c’est le règne de la LOI et non pas des hommes ou du social clientélisme. Prenons un exemple. Le secteur financier (dans lequel je travaille) a capturé le système politique, ce que l’on a fort bien vu dans la dernière grave crise économique (voir pour plus de détails « Libéral mais non coupable) et tout cela a été légalement autorisé par des hommes politiques qui avaient été achetés. Les banquiers et financiers n’ont pas gagné d’argent en mettant leur capital en risque (la base du libéralisme) mais en achetant la complicité des gens au pouvoir, ce qui n’a rien à voir avec le Libéralisme et tout avec le social clientélisme, cette horrible maladie de la Démocratie. Par exemple, permettre la fusion des banques d’affaires et des banques de dépôts comme l’a fait l’administration Clinton aux USA a été un véritable crime dont nous payons encore le cout. Dans un pays libéral, de plus, l’Etat ne serait pas intervenu pour manipuler le cout des prêts hypothécaires à la baisse pour acheter les voix des électeurs avec l’argent d’autres électeurs et nous n’aurions jamais eu de crise immobilière.
Je ne doute pas que les lecteurs vont réagir à cette petite philippique et ce serait bien normal et bien sur, je serai ravi de leur répondre.Cependant, s’ils veulent m’entreprendre sur l’un de ces 3 points, ils doivent savoir que je risque de m’énerver…